CADAVRES DESINCARNES › Saints reposent dans un tombeau silencieux de vie, vide sens, néant régnant tel l’enjambement d’un titan ! Reposent les morts riches de bijoux, soieries, ces grands de la ville maudit sont ces bagot de soufre, l’haleine putride sur les vitraux esquissant des croquis, vain hommage aux mort ! Nul esprit en ce lieu obstrué de mouvement, de rire, de cris ! Nulles âmes en ce lieu conquis des funestes tragédies se dessinant sur les calligraphies des pierres maitresse de ce domaine ! L’on devine facilement les cadavres empêtrés de bourbe et de pourriture, vieux os pourris, mangés par les mites !