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(seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." monsters are real, ghosts are real too, they live inside us, and sometimes, they win
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
 | Sujet: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 19:42 | |
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seraphin aiden finley « Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort. »
 NOM ; Finley. Un nom typiquement irlandais. L'histoire de ce patronyme lui donne la signification symbolique de "guerrier blanc". PRENOM(S) ; Certains affirment qu’un prénom reflète souvent la personnalité de son propriétaire. De par son âme céleste, Séraphin impose l’image d’un ange protecteur. Quant à Aiden, il reflète ses origines écossaises. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; Il naquit de manière funeste. Une sombre nuit d’hiver, plus exactement le 16 janvier 1988, dans un endroit qu’il souhaite oublier. AGE ; 25 années torturées, toutes plus difficiles à supporter. ORIGINES ET NATIONALITE ; Comme son nom l’indique, une grande partie de son sang est écossais. On note également quelques touches de français. Une vieille alliance qui semble faire bon ménage. ETUDES/METIER ; Tel un vagabond titanesque, le jeune homme a arpenté de nombreux chemins avant de trouver sa voie. L’écriture laissait libre cours à ses inspirations, mais la peur de la page blanche a eu raison de cette passion. La médecine, et plus particulièrement le métier d’infirmier, ont déterré des névroses occultées. Quant au droit, discipline dans laquelle il s’est plongé sans encombre, lui a offert un métier idoine : apôtre des causes perdues. ORIENTATION SEXUELLE ; Il se laisse ardemment tenter par la gente féminine, seulement son cœur est déjà conquis. STATUT ; Embourbé dans une once d’objection, il se considère être fiancé. SITUATION FAMILIALE ; Soit une situation désastreuse. Une mère inconnue morte en lui donnant naissance, un père draconien qui a quasiment torturé son esprit ont bercé son enfance. Quant à sa fiancée, il ne sait sur quel pied danser. SITUATION FINANCIERE ; Ah l’argent, une chose dont il ne semble pas devoir se préoccuper. GROUPE ; Il fait partie des échoués. C’est un simple humain, un modeste habitant, naïf quant aux mythes qui entourent la ville de Misty Hill. CELEBRITE ; L'homme parfait, Gaspard Ulliel. ━━━━━━━━━♢━━━━━━━━━ « On n'échappe pas à son regard : celui du serpent fascinant la musaraigne. Cet œil d'escarboucle voit tout, s'impose, joue de son pouvoir ; Il inquiète. L'œil espagnol, à la Picasso ; ou l'œil du peintre qui examine un trait, une ligne, sans égard pour l'être humain qui se sent disséqué sous ce regard. Un sourire de loup. Irrésistible pour toute femme qui se sent un peu femelle... Brusque dans ses paroles, tendre dans ses gestes... le contraire, selon le jeu qu'il mène. Mais c'est en lui-même qu'est le poison le plus dangereux dans sa tendance autodestructrice, dans la fascination que la mort exerce sur lui, dans cette attirance pour les abîmes et cette présence familière de l'angoisse. Il ne fait rien à moitié. Lorsqu'il plonge vers le versant obscur de son être, il peut être très dur, impitoyable au faible, avec un côté cruel, jaloux, intransigeant, se fiant à son seul instinct, agressif dans ses rapports avec autrui, méprisant ceux qui n'entrent pas dans son système de pensée, aimant manipuler les autres, les mener là où il veut. Mais lorsqu'il abandonne sa « peau de serpent » pour tenter de devenir un « aigle », pour se dépasser lui-même, il peut aller plus loin que quiconque. Son endurance morale, son orgueil et son caractère absolu le conduisent parfois à réaliser de grandes choses, à se dévouer corps et âme à des tâches obscures, à sacrifier son temps, sa santé, sa vie même pour une cause exaltante. Il aime tout ce qui exige de la concentration et de l'attention. Il a une intelligence pénétrante, beaucoup de perspicacité. II devine le point faible ou l'intention cachée de son interlocuteur. Il « casse » le système pensée des autres avec une efficacité peu commune, détectant aussitôt l'argument fragile ou la faille de l'édifice. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est si bon dans son métier d’avocat. Il est difficile de savoir ce qu’il pense, de connaître ses véritables sentiments ou ses intentions. On ne peut le juger que par ses actes. Ils ont le goût du secret. Il a parfois l’impression d’avoir plus de pouvoir sur les autres sans s’être lui-même découvert. Ses problèmes sont plus souvent psychologiques que physiques ; ou du moins les derniers, ont-ils clairement leur origine dans les premiers. Il a très tôt été conscient qu'il existe en lui des pulsions dangereuses pour son propre bien. Ou pour ceux qu'il aime...» questionnaire + Habites-tu depuis longtemps à Misty Hill ? Suffisamment longtemps pour ne plus être considéré comme un étranger. Ce sont les pieds d'un homme tout juste éclot qui ont arpenté le sol de Misty Hill, cette ville pleine de mystères, aux couleurs sombres et inquiétantes. Il ne l'a pas choisi, elle l'a fait pour lui. L’intégration fut assez difficile, mais au bout d’un certain temps, il fut accepté dans la masse. Souvent bercé par de funestes cauchemars, il s’est vite habitué à l’atmosphère étouffante de cette ville pour le moins étrange. + Crois-tu aux diables et démons des mythes de ton enfance, des croyances de tes parents ? Il ne croit qu’aux démons tapis au plus profond de son être. Son enfance fut bercée par des mots tels que « Satan », « monstre », adressés par un père trop croyant pour être saint d’esprit. Désormais, il ne croit qu’en lui-même et ses propres convictions. À ses yeux, la religion cause bien trop de ravages. Les mythes qui entourent Misty Hill en sont la preuve parfaite. Il doit contenir suffisamment de noirceur pour être enclin à croire qu’elle existe sous d’autres formes. Plus le temps passe, plus le jeune homme se considère comme athée. + Rêves-tu de partir loin de cette ville que l'on dit maudite ? Loin de lui cette idée. Malgré toutes les ambiguïtés de cette ville réprouvée, il a fait le choix d'y vivre et ne songe pas à l'abandonner. Maintenant qu'il a dégoté un équilibre avec son fort intérieur, un changement ne serait-ce que minime risquerait d'anéantir ses efforts. Mais la raison principale de ce désir de subsister réside principalement en la personne de Frida. Elle l'a emmené dans ce lieu soit-disant maudit. Elle a ouvert en lui des lieux inexplorés. Tant qu'elle y vivra, il la suivra. + T'habitues-tu au climat, aux gens, à leurs moeurs ? Tout est une question d'acclimatement en général. Quand on gagne un nouvel endroit, il y a toujours un décalage entre les habitants et les "touristes". Il y en a qui s'habitue, d'autres non. Seraphin fait partie de ceux qui se sont vite fondus dans le décor. Même s'il n'observe pas les mêmes coutumes que le reste de ses congénères (croyance, mythe), c'est un citoyen à part entière. Quant au climat certes particulier, quelques années ont suffit à passer outre. + T'amuses-tu à tester les légendes urbaines ? Comme explicité ci-dessus, Seraphin n'est pas le genre de personne à croire aux légendes, quand bien même urbaines. Il lui est arrivé de rencontrer des personnes qui auraient tester ces fabulations. Tous les récits du monde ne changeront absolument rien à ce qu'il pense sur le sujet. Il faut le voir pour y croire. Mais il n'est pas enclin à le voir. C'est un cercle vicieux qui n'est pas prêt d'être inversé. + T'est-il déjà arrivé une expérience surnaturelle, quelque chose d'irrationnel ? Il y a bien un chose. Ce phénomène est rare, mais il reste perturbant. Dans ses moments les plus sombres, enclin à s'abîmer dans les ténèbres, plus noirs que la nuit elle-même, Seraphin est gagné par un sentiment étrange. Aux bords du gouffre, une douce chaleur vient envahir son cœur. Il a beau être réticent, la présence de sa défunte mère est quasiment palpable. Il brasse de l'air vide, tout en sachant qu'elle est là. Est-ce une illusion ou un véritable esprit? L'homme s'en moque. Tout ce qu'il sait, c'est que ce sentiment le réconforte et le laisse pantois en vertu de ce qu'il croit. |
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✤✤✤✤✤ | derrière l'écran PRÉNOM/SURNOM ; Je m'appelle Justine  . J'ai un surnom assez "étrange", mais mes amis me surnomment Jus de citron (j'ai cherché un smiley citron, mais il n'y en a pas  ). On me retrouve également avec nutellaz sur les forums. AGE ; 19 ans SEXE ; Jusqu'ici je suis une fille COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? ; :momo:Grâce à Becky, que je ne remercierai jamais assez d'écrire des scénarios aussi géniaux. ET COMMENT TU LE TROUVES? ; Absolument parfait. Tant au niveau au design que du contexte  EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? ; Je ne pense pas que ce soit nécessaire, mais pourquoi pas  PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? ; Moi? Supprimé? Avec ce scénario? JAMAIS. La question ne se pose donc pas  CODE RÈGLEMENT ; Validé par Isaac le saint  AUTRE CHOSE A AJOUTER? ; Je fais un kiss à ceux qui viennent d'HK  - Code:
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[color=firebrick]◗[/color] [b]Gaspard Ulliel[/b] - Seraphin A. Finley |
Dernière édition par Seraphin A. Finley le Lun 5 Aoû - 21:48, édité 12 fois |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 19:42 | |
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your fairytale « ici, une petite citation qui va bien et qui rentre en une ou deux lignes »  La mort, le maître absolu. « La mort. La fin de l’existence. Le néant. Elle est inéluctable, imprévisible et touche toujours ceux que nous chérissons le plus. Quoi que je fasse, où que je sois, je mourrai. Ce savoir s’acquis avec le temps, la sagesse et l’expérience. Lorsqu’elle touche au plus jeune âge, elle peut être fatale. Vivre et grandir avec un sentiment d’impuissance fondamentale est assurément destructeur. Qu’en est-il alors, lorsque la mort touche un enfant dès sa naissance ? Ce soir-là, la vie et la mort se sont frôlées, titillées, irritées, mais une seule d’entre elles allaient demeurer. La vie a triomphé, mais la mort a emporté plus qu’une mère en cette nuit d’hiver… L’âme de l’enfant nouveau né resterait à jamais ébranlée. Était-ce de sa faute ? Probablement pas. Tandis qu’il dût apprendre à vivre avec cette atroce pensée, rien n’épargna la misérable enfance de Seraphin, un garçon pourtant destiné à la lumière. Dépourvu d’amour maternel, il aurait pu se reposer sur les épaules de son père, mais ce dernier n’était d’aucun secours. Selon ses dires, l’enfant était responsable. « Satan, satan, satan » ne cessait-il d’entendre, comme si le diable habitait son petit corps innocent. À force d’ouïr ces calomnies, le garçon s’est mis en tête qu’il était fautif, que son paternel avait raison. Il avait beau le haïr, sa présence était la seule chose qui le maintenait debout. L'homme religieux l’ensorcelait de prières pourtant réconfortantes, mais oppressantes. Comme toute personne en deuil, Seraphin est passé par le déni, car la perte de sa mère n’était pas envisageable, il faisait un vilain cauchemar et elle ne tarderait pas à venir le consoler. Elle ne pouvait être partie. Il fut ensuite inondé par de la colère. La mort était réelle. Elle lui avait volé sa mère. Pourquoi elle et pas lui ? Question restée sans réponse. Vint alors le temps des négociations, on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre sa propre âme en échange d’un jour de plus. Un échec. La rage est alors difficile à contenir, il tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à l’abandon. On abandonne et on accepte, ou à son tour on meurt. » (++++++++) Le temps révèle toute chose. « Le temps. L’inconscient ignore le temps. Une fois notre personnalité fixée, elle répète les mêmes passions sans l’intervention du temps. Les années passèrent sans qu’aucun changement ne guette le quotidien morose de Seraphin. Lasse de subir les aliénations du paternel, le garçon, aux lueurs de l’adolescence, se révolta. L’idée de rentrer à la maison était devenue abstraite, ainsi guidé par un instinct prosélyte. Il regagnait son toit de moins en moins, privilégiant la vie en solitaire, accompagnée de quelques démons intérieurs. Amères années s'écoulèrent. Une douce nuit de printemps, tandis qu’il rejoignait le chemin de son presque logis, une fumée noire se présenta à la place de la vieille bâtisse vaguement familière. Rien. Il ne restait absolument rien. Plus de maison, plus de lit, mais surtout : plus de père. Cet homme qui avait torturé son esprit n’était plus. Une once de satisfaction aurait dû l’envahir, sauf qu’un effroyable vide hantait désormais son esprit. Il était à jamais seul. Où aller ? Que faire ? Il ne le savait. Secoué par la tournure que prenait son existence, il erra des jours à la recherche d’une réponse. N’importe quoi. Un hôpital se dressa alors devant lui. Il avait marché sans but jusqu’à cet endroit qui allait rapidement devenir son nouveau refuge. On dénota tout de suite de la perspicacité chez le jeune homme. Il devint ainsi infirmier, assistant d’un univers pervers. À l’image du bourreau qui exécute, un véritable esprit tortionnaire naquit au plus profond de Seraphin. Un véritable monstre rugissant s’est alors manifesté, auparavant tapis dans des abymes insoupçonnés. À force de sonder les profondeurs, de plonger dans les méandres noires du psychisme humain, il s’y noie vraiment et n’arrive plus à retrouver goût à la lumière de la vie. À force de vouloir examiner la vérité, il finit par ne plus la supporter telle qu’elle est. Si l’inconscient refoule certaines choses, c’est peut-être pour protéger l’individu de la folie naissante. Ces névroses occultées mirent alors fin à l’infirmier, à l’asile, à son refuge. » (++++++++) l'amour, un perpétuel combat. L’amour. Instable, fluctuant, irrationnel. Penser l’expérience amoureuse est une des seules formes de résistance possible au nihilisme ambiant, qui, avec la flétrissure de l’acte sexuel réduit à un libertinage morbide, a trouvé son arme de destruction massive. C’est un synonyme de désordre, de chaos et de sentiments incontrôlables. A l’origine, l’homme était une sphère, que le facétieux Zeus a jugé bon de couper en deux; depuis, nous cherchons de par le monde notre moitié manquante, qui nous attend sans doute quelque part. Lorsque l’on découvre cette âme-sœur, l’amour nous capture subtilement. Frida est alors apparue aux yeux désabusés de l’ange déchu. Ni esclave, ni trop autonome. Il y a alors un équilibre à trouver, toujours instable, toujours à réinventer. Elle tente d’apaiser ses maux les plus sévères, l’emmène dans des contrées inconnues. Vint alors ce sentiment de plénitude, le bonheur dit-on. Au-delà, cette connexion semble archaïque. La morosité reprend le dessus. Guerrier, gladiateur, mercenaire, sa cour brûle les étapes, à la hussarde. Sadique, l’amour n’est jamais sans ombres pour Seraphin, sans reflets et sans cruauté. Emportements et colères légendaires, mode d’expression théâtrale pour crier ses sentiments. Cet être absolu n’offre aucune médiocrité dans l’expression de ses sentiments. Il aime à la fois se livrer à une passion dévorante et observer son amour avec la froide lucidité du savant devant sa planche à dissection. Dans ses dérives, l’homme est un jaloux obsessionnel, un amoureux vorace. Perdre le contrôle de ses émotions, telle est la grande peur de Seraphin. Il mêle en d’étranges nœuds amour, haine et mort. Coup de foudre, passion pour la pureté, amour vénéneux du malsain, tout existe et se bouscule dans son coeur. L’amour est une guerre, on peut la fuir, mais on peut aussi en mourir. (++++++++) la renaissance, douce libération La résilience. Une attitude devant la vie. Le refus de se sentir condamner au malheur. Naît alors une forme d’autodérision face aux traumatismes. Une manière de ne pas se complaire dans la tristesse et de cesser d’être exposé comme miséreux. Aux côtés de sa bien-aimée, un avenir se dessine entre les nuages obscurcit de son esprit. Le droit, discipline rêvée pour son esprit tacticien, lui permet de s’épanouir hors des méandres de la vie. Une façon pour lui d’exorciser son malheur, de sortir des sentiers battus et de marquer indirectement la fin de sa torture. Cet avenir fleurissant permet de surmonter les pires obstacles, les évènements qui, en plus de menacer le fort intérieur, s’attaquent directement à l’identité. Cette résilience frappe l’imaginaire en faisant découvrir que nous sommes capables de beaucoup plus que nous le croyons. Elle est mise en garde : toutes les théories sur les aléas du développement de l’être humain ne peuvent pas expliquer sur un plan singulier l’aventure de chacun. Il demeure une part d’imprévisible, d’indicible qui dépasse nos connaissances. Elle est un message d’espoir : le symptôme, au moment où il apparaît est bien lourd à porter. Il peut enfermer l’esprit dans les rets morbides d’une maladie imainaire. Il est parfois un mouvement gênant mais fécond dans une évolution et il faut alors savoir l’accompagner sans vouloir le supprimer. Elle est un rappel de nos forces et de nos limites : autant il ne faut pas minimiser les effets pathogènes de maintes situations qui se prolongent, autant il faut savoir reconnaître avec humilité que nos anticipations sont des hypothèses destinées à savoir reconnaître les obstacles. Elle est porteuse d’un dynamisme. Celui qui souffre, celui qui lutte, celui qui semble sombrer à un moment donné de son existence est à écouter dans sa propre démarche pour que celle-ci, reconnue, génère de nouvelles pistes d’action. Elle transmet un message paradoxal : on ne peut pas toujours faire l’économie de la souffrance pour étayer sa créativité et c’est parfois après une telle démarche souffrante qu’on peut actualiser des forces demeurées jusqu’alors latentes et inconnues. La résilience, une renaissance inespérée, une douce libération pour Seraphin. Une grande force qui réside dans sa capacité à se transformer, à se régénérer, à se métamorphoser. Lorsqu’il semble avoir atteint le gouffre de la dépression, il renaît à la vie. C’est dans ces périodes de crise qu’il puise son énergie vitale. Est-ce définitif ? Probablement pas. Mieux vaut garder à l’esprit que ses démons restent profondément tapis, jusqu’à ce qu’ils trouvent la brèche vers laquelle se faufiler et envahir son être de nouveau.
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Dernière édition par Seraphin A. Finley le Lun 5 Aoû - 13:59, édité 10 fois |
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MODERATEUR
Saint des pervers & gouverneur en chef de la tribu des Cow
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 20:11 | |
| Bienvenue !  Bonne chance pour la suite !  Je suis trop heureuse de retrouver là !!!  HAPPY !  Je réfléchirais à un lien qui tue, en plus GASPARD ULLIEL QUOI ! Déjà tu vas maltraiter ma pauvre Esme, je vais pleurer  Tu as une semaine pour finir ta fiche, sinon, j'te viole  Si tu as une question, va te faire voir, j'suis pas à tes ordres  :ptdr:n'hésites pas ! HAVE FUN MON CHOU !!!  |
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Exorciste - Je suis ton pire cauchemar démon
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 20:50 | |
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MODERATEUR
Saint des pervers & gouverneur en chef de la tribu des Cow
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 20:52 | |
| Juste pour dire que ton code est bon Bebounet, je le valide ! Bebounet ... pourquoi pas  |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mar 30 Juil - 21:06 | |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mer 31 Juil - 6:40 | |
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| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mer 31 Juil - 10:05 | |
| bienvenue  excellent choix d'avatar bon courage pour ta fiche  |
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Exorciste - Je suis ton pire cauchemar démon
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mer 31 Juil - 12:29 | |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Mer 31 Juil - 19:20 | |
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Witch - I follow the light
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Jeu 1 Aoû - 8:11 | |
| Bienvenue,
L'avatar est juste super ! |
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Exorciste - Je suis ton pire cauchemar démon
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Jeu 1 Aoû - 13:02 | |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Lun 5 Aoû - 22:38 | |
| MON PETI AMOUR !!! QU EST CE QUE JE SUIS CONTENTE DE TE VALIDER !!!  Je pouvais pas rêver mieux comme Seraphin... tu m'illumines de tes écrits et j'ai tellement hâte qu'on puisse se faire de longues odes et ballades, partager des mots comme on a voulu le faire ! Là va être l'occasion ! DONC C EST AVEC UN IMMENSE PLAISIR QUE JE TE VALIDE MON PETIT CHOU !! |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Lun 5 Aoû - 22:56 | |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Lun 5 Aoû - 22:58 | |
| QUE TU ES BEAU EN BLEU !!  |
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
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Échoué - I try, but its to hard to believe.
| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." Lun 5 Aoû - 23:07 | |
| Tu as tout à fait raison !  Gaspard est dieu je crois ! |
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| Sujet: Re: (seraphin) "tu es tordu et torturé, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es." | |
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qu'est-ce ça sera en voyant ton histoire? 
