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LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.
monsters are real, ghosts are real too, they live inside us, and sometimes, they win



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MODERATEUR Saint des pervers & gouverneur en chef de la tribu des Cow
C. Isaac Strokes
C. Isaac Strokes
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+ ARRIVEE A MISTY HILL : 20/07/2013
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MODERATEUR
Saint des pervers & gouverneur en chef de la tribu des Cow

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MessageSujet: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyMar 23 Juil - 21:36




LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. Tumblr_inline_mkdd3tvJNd1qz4rgpParfois, je me demande comment tu fais pour être encore en vie. Comment as-tu pu vivre si longtemps sans te coller une balle dans la tête ? Ta vie est merdique, Isaac. Arrêtes de sourire, de faire comme si tout allait bien. Je sais tout, je vois ce qui se passe dans ta tête. Tu es pathétique. La seule chose de positif qui te sois arrivée dans ta misérable vie est ta fille, et bientôt elle ne sera peut-être plus de ce monde. Je compte m'en occuper. Juste pour te faire voir que ce n'est pas parce que tu as le contrôle sur moi aujourd'hui, que tu es supérieur. Alors même si ta vie semble normal, tu meurs peu à peu. Chiffon en main, tu passes un coup sur le  comptoir pour enlever les bouts de verre dispersé ici et là. Encore une bagarre. Il y en a souvent dans le coin, surtout à ce bar. Peut-être que c'est à cause de toi, tu amènes malheurs et chaos où que tu ailles. Il n'y a aucun sourire sur ton visage. Pourquoi ça mon grand ? Tu n'es pas heureux ? Quel scoop. Tu devrais arrêter de penser si tu veux mon avis. Je sais à quoi tu penses. Tu penses à ta fille. Et à moi. Surtout à moi. A la haine que tu me portes, cette haine qui te dévore peu à peu. Morceau par morceau. J'ai envie de commencer par ton cœur. Il n'est déjà pas en bon état, je ne pense pas me tromper. Tu sers quelques clients. Tu souris. Mais le cœur n'y est pas. Tu crois que je ne vois pas ton petit manège. Tu essais de jouer à l'homme heureux pour me faire croire que tout va bien. Prenant un verre, tu fais couler le liquide transparent à l'intérieur avant de le boire. De l'eau, simplement de l'eau. Jamais d'alcool pendant ton service, tu as déjà eu des problèmes avec ton patron à ce sujet.

Tu penses à ta fille. Tu aimerais l'avoir à tes côtés. Pouvoir la prendre dans tes bras et la serrer contre toi, être certain qu'elle ne crains rien. Le souci est que c'est justement dans tes bras qu'elle est le plus en danger. Tu as peur de toi-même, de ce que tu pourrais lui faire si tu perdais le contrôle et que je prenais les commandes de ton  corps. Tu sais que je ne ferais rien à ta princesse pour le moment, je préfère te regarder souffrir encore un peu. J'aime savoir que tu as peur, que tu cries intérieurement pour que tout s'arrête. Certaines personnes dans le bar t'appelles, essaies d'attirer ton attention, et même si tu as du mal à te concentrer, tu les sers. Parce que tu es là pour ça. Tu essais de ne pas être trop froid avec les gens que tu croises. Car même si tu es d'un naturel souriant et avenant, tu changes ces temps-ci. « Strokes, t'es pas ici pour rêver ! Des clients attendent ! » Sursautant, tu laisses tomber le verre que tu tenais dans tes mains et ton tee-shirt risque de s'en souvenir longtemps. Regardant la grosse tâche présente sur ton haut, tu laisses un long et profond soupir franchir tes lèvres. Il ne manquait plus que ça. « Je ... je vais vous servir. Je vous demande une seconde, s'il vous plait ! »  Tu paniques. Lorsque la situation échappe à ton contrôle, tu as toujours du mal à garder ton calme. Mais fais attention, le stresse est un appel à la possession. Tu devrais le savoir. Te baissant, tu pris une balayette dans ta main droite, et une mini pelle dans ta gauche. Les morceaux de verre ne se ramasseront pas tout seul. Tu sais que cela sera retenu sur ton salaire, mais au point où tu en es, ce n'est qu'un détails. Après avoir enlevé le tout, tu te relèves et tombes nez à nez avec un homme. Ton patron. « Tu te fou de moi ou quoi ? T'es femme de ménage maintenant ? Je sais vraiment pas ce qui m'empêche de te virer. » J'en sais rien, tu pourrais plus mater mon cul et te faire plaisir tout seul en y pensant si tu me virais, connard. C'est ça que tu devrais lui répondre mon grand, soit un homme un peu. Où sont passés tes couilles ? « Excusez-moi, je me remets au travail. » Sérieusement ? C'est pathétique, même venant de toi. Parfois tu devrais me laisser parler à ta place, tu passerais moins pour un con.

Lorsqu'il part, tu t'appuis contre le comptoir en soupirant. Journée de merde. Tu te demandes ce qui pourrait t'arriver de pire quand un homme vint quémander une boisson. Relevant la tête, tu le regardes. Voilà une bonne chose, il est canon, tu trouves pas ? « Je peux vous servir quelque chose ? Un verre ? » C'est tout ce que tu trouves à dire. C'est pas un verre que j'aimerais lui offrir, plutôt mon phallus sur un plateau. Pardon pour ma vulgarité mais sans blague Isaac, il est canon. Offre lui son verre. Invite le chez toi. Passe une nuit torride avec lui. Ou alors laisse moi le contrôle et je m'en occuperais. Penchant légèrement la tête sur le côté, tu l'examines. Il te dit quelque chose. Oui, tu l'as déjà vu quelque part. Mais tu es incapable de te souvenir où. Reprends toi, on dirait un débile comme ça. Tu n'as plus qu'à attendre sa réponse. En attendant, tu prends le chiffon et le passes sur ton torse pour essayer d'enlever un peu le liquide qui coule dessus. Tu as horreur de sentir ton tee-shirt te coller à la peau. Tu aimerais l'enlever mais tu ne peux pas. Heureusement pour toi, tu as bientôt terminé ton service. Plus qu'une petite heure et tu pourras être de nouveau chez toi, au calme, avec ta fille. Cela fait des semaines que tu dors très peu, tu as peur que j'en profite, je comprend. Mais si tu comptes continuer ainsi, tu risque de ne pas tenir. Tu n'es qu'un humain, ne l'oublies pas. Tu as besoin de sommeil pour vivre. Tu n'es pas une machine.
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Exorciste - Je suis ton pire cauchemar démon
Loki A. Lewis
Loki A. Lewis
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyDim 28 Juil - 3:30




Ton corps te lance, tu aimerais t’arrêter mais on t’a toujours dis d’aller jusqu’au bout de tout ce que tu entreprenais. Pourquoi donc pousser ton corps à l’extrême ? Tu te sens vivant ainsi ? Mais dans cette ville, tu ne peux pas vivre, tu survie. Alors pour oublier tu cours, tu te dépasses. Ces muscles que tant de gens désirent toucher et maltraité ne s’entretiennent pas tout seul aussi. Tu le sais ça. Tu le sais qu’on ne te désire que pour ton corps. Personne ne t’aime sinon.  Ta famille ne voit en toi que leur descendance dans la chasse. C’est ce que tu crois, je suis ta conscience, je te confirme tes doutes, tu crois que personne t’aime. Et peut-être est-ce vrai. Cela t’aide de ne pas te savoir aimer ? Tu ressens encore plus de haine, ça t’aide peut être à ne pas perdre ton sang-froid face à tes démons. Ça te tue, ça te détruit mais ça t’aide à sauver les innocents, tel est ton devoir. T’as pas le temps pour toi. Pourquoi t’intéresserais-tu à ses sentiments que l’on nomme l’amour ? Ça ne sert à rien. Ton cœur t’as fait souffrir depuis tes débuts, pourquoi pourrait-il faire autre chose que de te blesser ? T’arrêtant sur le bord de la route, tu portes ta main à ta poitrine, là où ton cœur se situe et tu écoutes son battement. Il emplit tes oreilles de ses battements rapide et il se serre, il prend tes rares pauses pour des instants de vengeance. Tu souffres, te plie en deux. Peut-être que tu as trop forcé, comme d’habitude. Alors tu attends, ton regard vide tourné vers la lisière de la forêt qui suit la route que tu prends. Tu attends que ton cœur se calme, se taise contre ton thorax pour que tu puisses repartir. Encore heureux que tu n’aies pas de problème médical, tu serais vraiment malheureux de ne pas te mettre en danger tout seul pour te pousser encore plus loin que tes capacités te le permettent. Tu sais parfaitement qu’il n’y a plus aucune voiture qui passe là, ou très peu, alors tu marches au milieu de la route, rentrant chez toi pour retirer ton pantalon qui te colle à la peau. Bien sûr que tu ne mets aucun t-shirt quand tu vas courir chaque matin. Tu ne préfères pas, pour le développement de ta musculature.

T-shirt ou chemise ? Veste ou manteau ? Short ou jean ? Ces questions, tu ne te les poses pas. Tu prends au pif dans ton armoire, tu n’y mets pas plus d’importance que ça, fais juste attention que cela mette bien en valeur les efforts que tu fais tous les matins en allant courir. Te passant une main dans tes cheveux, tu te dis que quelqu’un d’autre aurait dû naître dans ton corps. Tu t’en fiches de ton corps toi et tu es sûr que plusieurs en auraient besoin pour draguer sans difficulté. Soupirant, tu fermes ton appartement à clef après avoir vérifié une dernière fois que l’arme glisser dans ta botte droite est bien chargée en balle bénite. Car même si tu vas juste te sortir pour te changer les idées, tu restes toujours en chasse, toujours à l’affût d’une future cible. Observant le soleil dans sa chute descendante, tu te rends compte qu’au final, soit ta douche soit ta course fut plus longue que prévue. Dans les deux cas, tu t’en fiches un peu, car du noir, tu n’as jamais eu peur. Tu as, toujours, petit, protéger tes frères, plus grand, de la nuit qui montrait le bout de son nez. Enfonçant tes mains dans tes poches, tu ne veux pas penser à ça, pas ici, pas dans cette ville, pas alors qu’à chaque instant tu peux perdre la vie si tu baisses une secondes ta garde. C’est excitant ne trouves-tu pas ? Sentir le danger courir ton échine, sentir tes membres s’engourdir sous ce sentiment que tu ressens si peut, la peur. Mais arrêtes de penser à ça, pas ce soir, pas le soir prochain, pas tant que tu seras encore en vie. C’est si dur de faire abstraction de tout pour être le meilleur. Eviter tous sentiments qui pourraient te faire défaut.

L’Absinthe, ton bar préféré, le seul de la ville tu crois. Ou peut-être pas. Mais celui que tu préfères. Tu prends une place au comptoir, il y a du monde sans que le bar soit blindé. Tu préfères quand il y a personne, tu t’y sens plus à l’aise, tu as l’impression que tu peux relâcher un peu ta garde, pas être tout le temps sur le qui vif. « Je peux vous servir quelque chose ? Un verre ? » La voix te fait sursauter légèrement et tu lèves rapidement ton regard vers ton interlocuteur. Le barman. Ce n’est que lui. C’est bon, tu as crus avoir à faire à l’un de ses démons qui se mêlent à la foule pour mieux vous attaquer.  Tu le vois pencher la tête, sur tes gardes tu fais plus attention aux traits de son visage. Ils te disent quelque chose. Au fond de toi tu le sais très bien que tu le connais mais son nom t’échappe pour le moment. Tu n’oublies pas les gens qui marquent ton esprit, qui marque un tournent de ta vie. Lui fait partis de ses rares personnes. Is- quelque chose. Isobel ? Non.  Isidor ? Sûrement pas. Ismaël peut être ? Non, tu ne crois pas. Mais il y avait un -a dedans. Ça sera Isa pour le moment. Un fin sourire étira le bout de tes lèvres alors que tu prenais une intonation de voix basse et mielleuse, qu’est-ce que tu as derrière la tête Loki ? « Cela dépend, vous êtes servis avec le verre ? » Tu veux des réponses, et tu veux les obtenir avec tes charmes ? A croire que tu crois que tu peux tout obtenir avec tes jolis yeux. Mais il semble répondre à tes avances non ? Un faible rire grave traversa tes lèvres alors que tu te penchais sur le comptoir pour t’approcher de lui et souffla : « Un verre de whisky pure s’il vous plaît. Vous acceptez les pourboires dites-moi ?» Allant chercher les billets pour ton verre et le pourboire de ta poche de pantalon, tu poses ceux pour le verre avant de lui lancer un regard qui ressemble étrangement à ceux que lance les femmes en chaleur en manque de contact rapprochés. Mais qu’as-tu derrière la tête ? Tu ne vas pas écarter les cuisses pour un simple prénom tout de même ? « Mais le pourboire il faut le mériter isa’ … » Tu es sûr maintenant que son prénom commence par ses trois lettres. Mais il faut encore trouver le reste, il t’aidera peut-être ?
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C. Isaac Strokes
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyDim 28 Juil - 12:38




LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. Tumblr_inline_mkdd3tvJNd1qz4rgp Tu as du mal à tenir une journée entière au bar sans voir ta puce. Avant tu avais Aimée pour t'aider, mais sans savoir pourquoi ni comment, elle n'est plus venue travailler du jour au lendemain. Tu es donc seul. Et même si la solitude ne te dérange pas, c'est le travail qui te dérange. Mais surtout, le patron. Toujours derrière ton dos à te répéter que tu n'es qu'un moins que rien. Que tu es maladroit et qu'il n'est pas loin de te mettre dehors. Mais tu tiens le coup pour ta fille. Sans ce travail, tu es perdu, il te faut de quoi élever ta fille confortablement, pouvoir la gâter.  Alors si tu te fais renvoyer, tu es finis. Et même si j'aime te voir te tracasser, je ne te ferais pas renvoyer, parce qu'au fond de moi, très au fond, je commence à t'apprécier. Tu demandes alors au bel homme s'il souhaite boire un verre. Ce que tu peux être con parfois, s'il vient là c'est pour boire, pas pour jouer aux cartes. Tu le vois alors sourire et prendre une voix d'un octave assez bas. « Cela dépend, vous êtes servis avec le verre ? » C'est un bon point ça mon gars. Attaque ! Tu as finis ton service dans une demi-heure, alors reste pas là comme une moche au bal de promo et invite le chez toi. Ce sera l'occasion de lui demander d'où vous vous connaissez. Pour une fois, vas y. Tu repousses toujours ceux qui dragues, tu n'acceptes jamais la moindre proposition, ce serait peut-être le moment de changer ça. Tes joues deviennent rose. Non, tu rougies ? Sérieusement ? On dirait un puceau qui voit son engin pour la première fois à la puberté. Il se rapproche de toi, il se fait plus direct. « Un verre de whisky pure s’il vous plaît. Vous acceptez les pourboires dites-moi ? » Isaac, donne moi le contrôle, tout de suite. Il est beau et direct, tout ce que j'aime. Déposant des billets sur le comptoir, il garde le reste entre ses doigts. Un regard de braise. « Mais le pourboire il faut le mériter isa’ … »

Bon, là, c'était louche. Comment connaissait-il ton prénom ? ou plutôt ton surnom. Oui, je sais bien que tu détestais que l'on t'appelle ainsi lorsque tu étais petit. Tu trouvais qu'Isa faisait trop fille. Tu répétais sans cesse que tu t'appelais Isaac et non Isa. Restant près de lui, n'ayant pas reculé, tu dis à ton tour, sur un ton neutre. « C'est Isaac ! » Tu te recules. Un whisky pur, ça marche. Te retournant, tu chopes la bouteille, un verre et fais couler le liquide dans le petit récipient. Ton cerveau est en ébullition, tu réfléchis, peut-être un peu trop. Comment connait-il ton nom ? D'où le connait tu ? Tu sais que tu l'as vu il y a longtemps. Tu sais que c'était grâce à ton père. Et tu sais que ... ça y est. Tout te reviens. Malheureusement pas son prénom. Mais son nom. Tu te souviens de son père, Monsieur Lewis. Son fils. Il ne pouvait être que son fils. Tu étais jeune, tu n'avais que six ans, et pourtant tu te souviens de lui. Parce qu'il était différent des autres. Parce que quand tu lui avais parlé, tu t'étais sentis normal. Tout les autres enfants te traitaient toujours comme un pestiféré, mais lui ne l'avait pas fait. Certes il s'était montré froid au début, mais il t'avais parlé comme à un enfant normal, sans prendre en compte le fait que ton père n'était pas comme les autres. Et cela t'avait aidé. Tu avais repensé à lui bon nombre de fois quand tu allais mal et que tu te sentais rejeté. Sans le vouloir, cet homme t'avais aidé à avancer. Et même si son prénom t'échappait, tu avais son nom. Malgré toi, tu étais heureux de constater qu'il se souvenait aussi de toi.

Te retournant, tu poses le verre sur le comptoir devant lui avant de prendre les billets que Lewis avait posé. Tu les fais glisser alors dans la poche de sa veste en souriant pour cacher ton malaise. « Vous apprendrez monsieur Lewis, qu'on ne m'achète pas. Votre argent, vous pouvez le garder. » Tu te redresses  ensuite en rangeant la bouteille. « Cadeau de la maison » Tu m’épates là Isaac. Relevant les yeux, tu vois ton patron te regarder, et merde. Tu détournes vite le regard, baissant les yeux. Tu n'as pas longtemps avant de finir ton service, si tu veux un conseil, part avant que l'autre con ne te tombe dessus. Passant un coup de chiffon sur le comptoir, tu souris en voyant celui qui va prendre ta place pour le reste de la soirée. Tu es enfin libre de partir. Par pitié Isaac, emmène Lewis avec toi ! Tu regardes alors l'homme te contentant de lui dire. « Bonne soirée. » Isaac, je te hais.
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Loki A. Lewis
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyLun 29 Juil - 10:57




Le bar, endroit de débauche où tu pouvais te libérer l’esprit de toutes ses histoires de démon. Un lieu où normalement tu signais la paix avec eux, une soirée de liberté où tu pourrais penser juste à toi et ne pas faire parcourir ton regard sur les individus présent autour de lui et penser que la moitié d’entre eux a besoin de ton aide pour ne pas mourir alors que l’autre moitié à besoin de ton épée pour leurs donner la mort. Tu as décidé que ce soir, c’est ta vie que tu sauverais et rien d’autre. Dans la vie d’un ‘héros’ comme tu l’aime te faire appeler, tu peux te laisser aller à une vie au semblant normale où tu n’es pas leurs derniers espoirs. Tu en as marre de ne penser qu’aux autres, tu ne peux pas avoir toi aussi quelqu’un qui te sauve de ce bordel ? Peut-être pas. Tu es destiné pour ça, être seul. Et tu sembles en apparence ne pas chercher de compagnie, chercher à faire fuir tout le monde. Ne laisser aucune chance d’entrer dans ta vie. Tu as de la chance de pouvoir revoir le seul gamin qui a fait battre ton cœur un peu trop rapidement et qui t’as brisé ce dernier en partant, laissant un grand trou dans ta vie et tu désires le faire partir en le draguant ouvertement. Tu n’es pas bête, tu sais reconnaître un menteur quand tu en vois un. Tu sais reconnaître quand tu vois que tes beaux yeux ne s’accordent pas avec ta langue expérimentée. Je n’ai pas le droit de dire ça ? Pourtant c’est vrai, avis de ta conscience, tu en as fait crier plus d’un et d’une avec cette langue. Tu claques cette dernière dans ta bouche, me disant de me taire et je t’obéis, docile. « C'est Isaac ! » Isaac ! Voilà donc les deux lettres qui te manquent. Enfin, une lettre phonétiquement. Tu retiens une grimace et l’observer aller chercher le verre sans rien dire. Tu as fait une erreur, surement.

Tu le vois réfléchir, chercher surement qui tu es. Toi tu te souviens de lui, c’était il y avait vingt ans. Tu t’en souviens parfaitement. Il t’avait t’en saoulé toute cette après-midi. Te parlant sans arrêt alors que tu faisais semblant de l’ignorer. Pourtant tu étais accroché à ses lèvres et quand il s’arrêtait pour reprendre sa respiration, tu le relançais sur un sujet. Tu faisais tout pour l’entendre encore et encore car sans sa voix tu te sentais mal. Et depuis vingt ans, tu te sentais mal, vide, détruit, sans cœur. Tu le vois revenir avec ton verre et tu n’esquives aucun mouvement, le voyant déjà prendre tes billets pour te les remettre sagement dans la poche de ta veste. « Vous apprendrez monsieur Lewis, qu'on ne m'achète pas. Votre argent, vous pouvez le garder. » Tu souris malgré toi, il a changé. Il n’est plus innocent comme avant. Tu en pers ton sourire. Cette ville ne garde aucune innocence. L’enfant le plus pur est sali à un instant ou un autre. « Cadeau de la maison » Lui aussi a perdu de son innocence … ça te faisait mal au cœur mais tu ne disais rien. Tu le laissais faire. Tu le vois partir mais tu ne dis rien. Tu le suis juste du regard, portant ton verre à ta bouche quand tu l’entends te souhaiter une bonne soirée. Tu n’esquive aucun mouvement vers lui, tu continues de boire, appréciant ton breuvage. Tu réfléchis. Le suivre ou rester ici avec ce verre maintenant vide ? Posant ce dernier délicatement sur la table, tu lèves le regard vers le patron de l’établissement et tu lui demandes de venir, le sifflant presque. « Monsieur Strokes a fini son service, voilà une compensation des quelques minutes qu’il ne fera pas ce soir. » Tu déposes une bourse d’argent sur la table et tu te lèves de ton tabouret, remerciant ta famille d’être riche et de le laisser faire ce qu’il veut de leur argent.

Prenant la porte, tu as calculé quand il saura assez éloigné de son établissement de travail pour pouvoir faire ce que tu veux. Tu restes dans l’ombre, tu l’observes, attendant qu’il passe devant une petite impasse pour l’attirer dans cette dernière, lui agrippant le bras. Tu le plaques sans ménagement contre le mur, posant ton avant-bras contre son cou pour le bloquer. Ta main libre va chercher les billets qu’il avait glissés dans ta veste pour les lui glisser le long du torse, arrivant à sa ceinture où tu les lui glisser à l’intérieur de son pantalon. Levant ton regard vers ses yeux, tu murmures : « Je tiens à ce que tu les gardes Isaac. » Tu dévores son prénom avec délectation avant de te presser plus contre lui, réagir normalement avec les gens, t’as jamais fait ça. Puis soit tu tues soit tu écartes les cuisses, tu ne sais rien faire d’autre. Ta bouche effleure sa joue avant de venir caresser son oreille. Tu grognes. Comme un animal. Je pourrais même dire un animal en rute mais ton boxer est sage pour le moment. Tu sais te tenir quand même. Ou peut-être pas. « Restes … restes avec moi … » Murmures-tu comme une demande caché. Comme un ordre et une supplication à la fois. Tu gémis à son oreille, te trouves répugnant un instant et tu attends qu’il te repousse.
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyMar 30 Juil - 13:56




LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. Tumblr_inline_mkdd3tvJNd1qz4rgp Une fois ton service terminé, tu as l'habitude de passer prendre ta fille chez ton père et de partir directement chez toi. Tu passes ensuite la soirée avec ta puce, vous regardez des dessins animées, tu essaies de te changer les idées en restant le plus longtemps possible avec ta fille. Mais tu sais que ce n'est pas ainsi que tes soucis s'arrêteront. Lisana est pourtant ton remède. Elle est ton miracle. Ce soir, tu avais prévu exactement la même chose que d'ordinaire. Tu te diriges donc à pieds vers la maison de ton père pour aller récupérer ta puce. Elle n'est pas à la porte à côté mais tu aimes marcher, cela t'aère l'esprit, tu en as besoin. Tu sens que tu deviens dingues sinon. Je peux te comprendre. Puis c'est le moment pour penser, ta tête est toujours pleines de ces pensées qui te tracassent jours après jours. Mais tu ne penses pas à la même chose que d'habitude. En temps normal, tu penses à moi, à comment me faire quitter ton corps, mais là c'est différent, tu te sens pas si bien que ça. Tu penses à lui. Tu repenses à votre rencontre, à cette journée qui avait marqué ta vie. Tu n'avais que six ans, six petites années, et pourtant ton cœur avait chaviré. C'était possible d'avoir un coup de cœur si jeune ? Il était normal de flasher sur un gosse qui ne daignait même pas vous adresser la parole alors que vous, vous lui parliez durant des heures sans jamais vous arrêter. C'était normal de penser à cette personne parfois en vous disant que même si vous ne la reverrez jamais, vous ne pouvez pas l'oublier ? Tu sais que la réponse est non, Isaac, alors pourquoi tu t'acharnes ?

Continuant à parler en te massant la nuque suite à ces problèmes, tes plans sont bousculés. Une main sortit de nul part t'attrape le bras pour t'attirer dans un coin. Dos au mur, tu alors un bras contre ta gorge pour t'empêcher de partir. Au début, tu paniques, tu te demandes qui cela peut bien être, et surtout ce qu'il te veut. Mais finalement, ouvrant les yeux, tu distingues les traits fins de son visage et tu le reconnais. Il t'a suivit, pourquoi ? Sentant sa main glisser contre ton torse, tu contractes tes muscles pour ne pas trembler, ou plutôt pour ne pas frissonner. Un billet, c'est un billet qui descend le long de ton corps pour finir dans ton pantalon. En règle générale, tu aurais protesté, tu aurais dis quelque chose. L'aurait peut-être même insulté, et pourtant, tu ne disais aucun mot. Tu étais incapable de le repousser. Pour la simple et bonne raison que tu as attendu qu'il t'accorde de l'attention, minime soit-elle. Alors maintenant qu'il est là, à te parler, tu ne vas surement pas l'arrêter. « Je tiens à ce que tu les gardes Isaac. » Tu aimes la manière dont il prononce ton prénom, tu ne saurais dire pourquoi. Baissant les yeux sur ses lèvres, tu les regardes en hochant la tête pour accepter. Il n'en veut pas, il ne faut pas le contrarier. Ce n'était que pour ça, pour te rendre l'argent ? Bien. C'est ce que tu crois. Mais au final, il ne te lâche pas encore. Tu pensais qu'il partirait et te laisserait seul, mais non. Il effleure ta joue de ses lèvres, pressant son corps contre le tien. Quel supplice. Je te sens vibrer Isaac, je sens tes envies bouillir. Alors pourquoi restes-tu calme ainsi ? Cet homme, tu en as eu envie pendant une éternité, ne le laisse pas filer. « Restes … restes avec moi … » Tu ne sais pas trop comment interpréter ses paroles.

D'un côté, tu en as envie. Rester avec lui, peut-être même rattraper le temps perdu. Tout savoir de lui. S'il est marié, s'il a des enfants, comment va sa famille. Tout. Absolument tout. Et pourquoi pas lui raconter ta vie. Lui dire que tu as une fille, une princesse. Lui apprendre que tu as été marié. Lui dire à quel point cette femme t'a fait du mal, même si c'est toi qui a demandé le divorce. Mais tu dois rentrer, tu ne dois pas te laisser tenter. Si tu acceptes de le voir ce soir, et qu'il disparaît dès demain, tu seras mal. Très mal. Mettant une main dans ton pantalon, tu essais d'enlever le billet qu'il y a mis mais tu en es incapable, son corps pressé contre le tien t'en empêche et au final tu laisses tomber. C'est dans son pantalon à lui qu'il faut mettre ta main, crétin. Les bras le long du corps tu te contentes de le regarder en cherchant les mots. Les bruits qui émanent de sa gorge te font encore plus frissonner. Tu pourrais prétendre que c'est de dégoût, ou même de frayeur, mais ce ne serait que des mensonges. C'était des frissons d'envie. « J'aimerais rester, Loki... » Tu ne sais pas comment tu as sortit ton prénom, mais lorsque tu l'as dis, il a été comme une évidence pour toi. Mais au final, tu craques. Si tu comptes rentrer chez toi, je ne suis pas de cet avis. Laisse moi la place, je saurais faire bon usage du corps de ton ami, fais moi confiance. En un instant, tu sens un mal de tête foudroyant. Tu sais ce que cela signifie, pas vrai ? J'arrive. Une douleur te submerge, cette folle impression que l'on t'enfonce un pique à glace dans la tête ne te quitte pas. Penchant la tête en avant, tu poses ton front contre son épaule en serrant les dents. Tu voudrais partir, t'enfuir loin de lui pour qu'il ne me voit pas. Mais tu es bloqué. Tu as peur qu'il comprenne. Qu'il sache que je t'habite. Qu'il comprenne que tu es possédé et qu'il te fasse subir ce que ton père a fait subir à bon nombre de personne dans ta situation. Mais tu n'as pas le choix.

Oui j'aurais pu être sympa et te laisser les commandes dans cette situation, mais j'ai jamais été sympa, dommage pour toi. Tu aurais dû réagir avant, abruti. Souriant, je pris la tête de ton ami entre mes mains pour l'embrasser. Rien à voir avec les doux baisers que tu fais toi, j'étais plus direct. Une main dans ses cheveux, l'autre sur ses fesses. Toi, tu n'avais jamais été un grand dragueur, tu n'étais pas ainsi, contrairement à moi. Nous étions de parfaits opposés. Relâchant ensuite ses lèvres, je lui fis un beau sourire avant de demander. « Chez moi, ou chez toi ? »
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Loki A. Lewis
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyJeu 1 Aoû - 20:52




Juste une nuit. Juste une nuit tu avais envie de dire. De le crier. Juste une nuit sans tout ça. Juste une nuit où tu peux tout oublié. Juste une nuit où tu peux être un simple humain. Un simple homme. Un homme qui sait aimer et qui ne sait pas que détester. Un homme qui sentirait le plaisir telle qu’il est et non telle qu’on lui a dit et qu’il se l’imagine. Tu aimerais vraiment connaître ce beau sentiment que l’on nomme amour. Tu en as lu des histoires qui en parlent. Des histoires tristes ou des histoires joyeuses, dans tous les cas réunit par l’amour. Tu s’identifiais souvent à ses princesses, c’était idiot, débile, complètement débile mais tu savais qu’un jour, un prince charmant viendrait te sauver. Tu savais que certaines fois les princes ne venaient pas et que les princesses devaient se débrouiller toutes seules mais tu gardais l’espoir que tu ne tomberais pas sur un prince charmant trop flemmard pour monter le haut de ton donjon. Ton donjon, ta prison, c’est cette barrière, cette carapace que tu as revêtu pour pas que les démons ne t’atteigne. Tes démons tu le vois comme le dragon des comptes qui garde la princesse. C’est con. Complètement. Arrêtes de penser à ça, c’est complètement idiot. Penses à lui. Penses à cet homme parfait qui te parle. Cet homme que tu as laissé rentrer dans ton cœur il y a vingt ans d’ici et qui te la volé. Tu te répètes. Ou je me répète. Mais c’est la même chose. Il te l’a pris. Voilà pourquoi tu n’arrives pas à aimer depuis. Sérieusement. Ne cherches pas un coupable, tu l’as chaque jour devant toi dans le miroir. Tu ne me crois pas ? Et cette belle femme avec qui tu as couché il y a plusieurs mois ou années de cela. Elle ne voyait que toi, n’écartait les jambes que pour toi, ne parlait que de toi. Et tu lui as fait quoi ? Tu l’as jeté dehors. Elle t’avait dit qu’elle t’aimait et tu l’as jeté dehors. Tu ne veux pas de femme pour ta vie peut être ? Non tu t’en fiches. Le physique ce n’est pas ce qui t’intéresse. Dans les deux cas tu peux te les faire au lit. C’est autre chose. Tu ne pouvais pas l’aimer. Quelque chose te l’empêchait. Quelqu’un.

Ce quelqu’un dans ton fort intérieur, tu sais qu’il est devant toi. Pourtant tu continues de te dire que ce n’est pas lui. Qu’il était comme les autres, juste un gamin comme ton petit frère qui parlait et que tu n’écoutais pas. Pourtant, tu étais resté suspendu à ses lèvres toute l’après-midi. Tu te demandais comment il pouvait parler sans s’épuiser ainsi mais tu voulais l’entendre encore et encore. Tu voulais tout savoir de lui, de ses goûts, de ce qu’il aimait ou n’aimait pas. Tu voulais savoir ce qu’il pensait de la vie. Tu voulais savoir s’il mettait son dentifrice avant de mouiller sa brosse. Tu voulais savoir ce qu’il pensait de toi. Mais tu n’as rien demandé. Tu l’as juste écouté. Tu as juste fait semblant de ne rien entendre pendant que tu arrachais les couches de ton bâton. Tu serais plus fort ce même bâton dès qu’Isaac s’arrêtait de parler pour reprendre sa respiration, redoutant le moment où il serait coupé par son père qui viendrait le chercher. Et quand ce moment est venu, tu as fait comme on te l’avait appris, encore. Tu as remercié le père de venir, que le gamin avait été pas trop chiant à supporter puis tu as pris congé. Et tu espérais le revoir. Depuis vingt ans tu espérais le revois mais il n’est jamais revenu. Et là tu sens son corps maintenant murir contre le tiens. Tu le presses plus fort contre le tiens, cherchant plus de contact. Tu le sens essayé quelque chose, tu sens sa main contre vos deux torses mais tu ne fais rien pour le retenir. Tu n’as rien envie de faire, juste profité de sa chaleur, du désir qu’il provoque en toi. De la tension qu’il fait monter en toi. « J'aimerais rester, Loki ... » Tu cherches à capter son regard mais il repose son front contre ton épaule et se tend légèrement. Tu ne fais rien, tu ne sais pas quoi faire. Tu ne sais pas pourquoi il fait ça. Pourquoi il semble souffrir. Ou peut-être qu’au fond, tout au fond de toi tu as une hypothèse que tu fais taire aussitôt. Tu ne fais rien quand tu sens ton visage se rapprocher du siens sans être de ta propre volonté. Tu sens ses lèvres contre les siennes et tu profites. Il est si bon. Si direct. Tu ne le pensais pas comme ça.

Il a évolué. Sa main sur tes fesses te fait frissonner. Tu relèves un regard fiévreux vers lui. Il te contrôle. Il t’excite. Tu l’aimes ? Peut-être. Tu le détestes ? Aussi. A te faire attendre comme ça. A te faire languir ainsi. S’amuser de ta faiblesse. « Chez moi, ou chez toi ? » Sa question te surprends. D’une main, tu vas chercher sa main dans tes cheveux pour la chasser. De l’autre tu poses ta main sur la siennes sur tes fesses et tu appuies le contact. Tu le veux. Maintenant. Tout de suite. Tu te hâtes même de retirer sa chemise. Mais t’arrêtes au moment de la lui faire glisser le long de ses bras. Renforçant le contact brut entre vos deux corps, tu vas chercher ses lèvres pour un baiser digne des stars du porno. Le bruit buccal y est. Quand tu détaches ses lèvres des siennes au moment où tu manques de t’étouffer, tu lui murmures près de ses lèvres : « Ici … » Tu veux pas attendre. Tu veux parcourir sa peau de tes lèvres. C’est déjà ce que tu fais. Ta bouche entrouverte descend sur ses pectoraux, s’attaquant aux abdos avant d’arriver à son bas ventre. Presque à genoux devant lui, tu lèves le regard vers son visage et souffle contre sa peau dans une pure supplication : « Je te veux maintenant … » Tu as toujours sus donner envies aux gens. Tu réussiras aussi avec lui ? Avec celui que tu veux toute ta vie ?
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyDim 4 Aoû - 18:33




LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. Tumblr_inline_mkdd3tvJNd1qz4rgpJe sais que tu m'en veux. Tu en as contre moi et je peux le comprendre. Mais tu sais quoi, je m'en contre fou. La seule chose qui m’intéresse chez toi, c'est ton corps. Ta belle gueule d'ange. Sans elle, je ne serais pas ici en face de cet homme. Car si tu crois qu'il s’intéresse à toi pour ce que tu as à l’intérieur, tu es bien naïf, Isaac. La preuve, il n'a même pas remarqué que tu avais perdu la partit et ainsi le contrôle de ton enveloppe charnel. Il n'a pas vu que tu avais changé, que c'est moi qui avait pris la place et que tu ne reviendrais pas encore. C'est lui qui t'a déconcentré, c'est de sa faute si toi tu te retrouve entre quatre murs dans ton esprit, et que moi je me promène librement avec ton corps. Tu as perdu tout tes moyens en le sentant contre toi, tu n'as pas pu garder ta concentration, et j'en ai profité. La belle affaire. Tu aimerais être à ma place, pouvoir profiter. Mais il fallait te réveiller plus tôt, quelle idée d'attendre, je ne pas réagir comme tu le fais tout le temps. Tu es trop lent, c'est un de tes plus grands défauts. Je suis dans ta tête, tes défauts je les connais sur le bout des doigts mon mignon.

Je ne savais pas vraiment si Loki allait me repousser ou non, s'il allait comprendre que quelque chose clochait. Mais à en juger par la force de son baiser, il n'y avait vu que du feu. Au final, il n'était pas aussi dangereux qu'il en avait l'air. Tu t'inquiètes pour rien, vraiment. Ses mains se balade sur mon torse, ou sur le tien, je ne sais pas comment l'interpréter. Il défait lentement ma chemise pendant que je me contente de garder ses lèvres entre les miennes. Ma main faisait pression sur son postérieur pour le rapprocher un peu plus de moi, à sa demande. « Ici … » Comment ça, ici ? Il voulait le faire ici, alors que des gens risquaient de nous voir. Je commençait à bien l'apprécier celui-là. Ses lèvres se baladèrent alors un moment sur mon torse pendant que je penchais la tête en arrière, souriant. « Je te veux maintenant … » Il n'avait pas à me le dire deux fois. Le prenant par les épaules, je fis volte face pour le bloquer contre le mur et l'embrasser avec une animosité déconcertante. Il fut très vite déshabillé par mes soins. Je ne voulais pas attendre moi non plus, à quoi bon patienter ? A quoi bon se faire ce mal ? C'est contre ce même mur que j'offris un moment plus qu'agréable à Loki. C'est moi qui contrôlait la situation, j'étais le maître du jeu. Et cela n'avait pas l'air de lui déplaire. Je savais que nous n'aurions pas pu attendre plus longtemps. L'envie de l'autre était trop puissant. Cet envie qui nous attirait l'un contre l'autre, cette faim, ce besoin de posséder l'autre. Toi tu aurais pu ressentir une forme de tendresse dans cet acte. Mais pour moi, ce n'était qu'une bonne partie de jambe en l'air, rien de plus.

Une fois cela terminé, mon corps encore brûlant contre le sien, je fis parcourir mes doigts le long de son torse en murmurant contre ses lèvres. « Finalement, je comprend pourquoi Isaac tiens autant à toi... » Je l'embrassais une dernière fois. « ... tu as le plus beau cul de toute la ville. » Je me reculais ensuite de lui pour remettre mes vêtements, du moins en bas. Ma chemise attendrait. Je ne me cachais pas. Je ne cachais pas le fait que je n'étais pas toi. De toute manière, s'il comprenait il ne pourrait rien me faire. Des gens risqueraient de passer et il ne tenterait pas de pratiquer un exorcisme en pleine rue. Puis il ne te ferait pas ce mal, pas après ce bon moment, si ? Il était dans le même cas que ton père, les deux ne pouvait pas te voir mourir. Leur sentiments sont une bonne arme pour moi, ils me permettent de rester en vie. S'ils ne tenaient pas à toi, cela ferait bien longtemps que je serais en enfer.


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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyMer 14 Aoû - 13:46




Tu en avais envie de cette bestialité. De cette animosité. Tu en voulais plus. Tu lui en demandais plus. Même quand ton visage rencontra le mur qui te servais d’appui. Ta joue collait un peu plus cette façade de béton, t’égrappant la peau. Mais tu t’en fichais. Tu étais bien là, coincé contre ce corps chaud qui te procurait le plaisir à l’état pur que tu cherchais. Ton corps, souvent secoué de frisson des plus agréables se tendait à chaque approche d’Isaac. Il touche ce que les autres n’ont jamais touché. Il découvre ce que les autres n’ont jamais découvert. Il te prend le cœur comme personne ne l’avait fait. Il te dévoilait des sensations que tu n’avais jamais eues. Ton corps se tendait, demandait plus, réclamait plus, proclamait l’aimer, affirmait n’appartenir qu’à lui. Tu étais à des kilomètres d’ici, dans un monde qui te comprenait, dans un monde où tu t’y sentais bien, sans responsabilité. Un endroit où tu pouvais t’y reposer, où tu étais bien. Mais tout se cassait à un moment. Tout prenait fin à un moment, tu l’avais parfaitement compris. Tout prenait fin. Une vie. Un amour. Une chasse. Un couple. Une famille. Un démon. Tout prenait fin un jour. Chacun attendait son heure. Chacun cherchait à repousser cette heure. Chacun voudrait un moyen de ne pas avoir à perdre quelque chose dont il tient. Toi, tu n’as pas peur de mourir. La mort est ta compagne de chasse. Tu la côtoie tout le temps. L’effleure des fois d’un peu trop près. Tu n’en as pas peur. Tu n’en auras jamais peur. Même le jour où elle viendra pour toi. Tu l’accepteras. Mais ce dont tu as peur c’est de souffrir. Pas physiquement. Mais que ton cœur souffre. Car ton cœur est ton point faible. Car tu n’as pas sus arrêter ce phénomène que l’on nomme l’amour. Tu ne sais pas ce que c’est, ou que très vaguement mais tu sais qui a une place dans ton cœur. Qui est capable de te détruire. Qui est ta plus grande peur et ta plus grande fascination à la fois. C’est lui.

Ce même type dont tu t’es abandonné. Ce même type qui laisse balader ses doigts sur ton torse qui se relève à vif allure, cherchant à se remettre de ses émotions. « Finalement, je comprends pourquoi Isaac tiens autant à toi ...   » Tu relèves le regard vers lui alors qu’il dépose ses lèvres contre les siennes. Tu tentes de comprendre. Tu tentes de trouver la fin de sa phrase mais ton cerveau est totalement vide. Tu attends la suite, suspendu à ses lèvres. Tu la redoutes la suite. Tu sais que tu vas choir à cet instant de ce petit paradis où tu étais. Tu le sais et pourtant tu le laisse parler. « ... tu as le plus beau cul de toute la ville.   » Ton monde disparaît autour de toi. Tu sens cette chute. Tu savais que cela n’aurait pas été facile. Tu pensais sincèrement qu’il allait être sincère dans chaque coup de reins qu’il assénait ? Dans chaque mot doux qu’il haletait à ton oreille ? Tu t’es trompé de ville Loki. A Mystic Hill, il n’y a aucune sincérité. Il n’y a que de la désolation, des mensonges, des tromperies, de la douleur, des pleurs. Tout ça tu connais. Pourquoi tu t’accrochais à l’espoir qu’il t’aimait ? Qui t’aimerait ? Tu n’as rien du prince charmant. Tu en as simplement l’apparence. Il a raison, tu n’es que le plus beau cul de la ville. Rien de plus. Rien de mieux. Tu l’observes se revêtir sans réaction. Tu as envie de disparaître, de t’enfoncer sous terre, de retrouver cette sensation d’être sur le point de céder. Il veut partir et c’est son droit. Que veux-tu faire contre lui ? C’est là que tu te souviens de ce qu’il a dit plus tôt. « Je comprends pourquoi Isaac tiens autant à toi. » Ton cerveau, par automatisme se met en mode chasseur. Tu as compris. Il est ta nouvelle chasse. La nature est peut être bien faite au final. Tu vas pouvoir reprendre d’une autre façon ce qu’il t’avait volé. Tu iras chercher ton cœur volé par la force s’il le fallait. Tu allais le faire payer. Un démon avait osé te possédé et pas dans le terme que tu aurais préféré. Il avait salis ton corps. Tu te vengerais. Tu reprendrais ta pureté. Tu reprendrais ton cœur.

Ton regard s’égara sur ta botte posé négligemment plus loin. Il n’avait pas vu le couteau que tu y cachais. Ton couteau qui a torturé ton premier démon. Tu lui avais même donné un nom. ‘Lux’. La lumière dans les ténèbres. L’espoir dans la désolation. Tu jettes un rapide coup d’œil à Isaac ou du moins celui qui l’y habite pour voir s’il fait attention à toi avant de faire un tour sur toi-même. Tout est calculé. Dans ton demi-tour, tu te saisis de Lux. Tu le fais tourner pour que sa lame soit vers le bas. Tu serres le manche de ton couteau avant de te lever. De ta main libre, tu plaques contre le mur le démon et dans un sourire désolé mais tellement faux, tu plantes ton couteau dans son épaule gauche. Dans ta tête, tu te dis qu’il aurait mieux fait de remettre son t-shirt et sa veste en premier. Ça lui aurait permis de ne pas sentir l’eau bénite dans quoi la lame de ton couteau avait mariné. Ton regard est froid, presque dangereux. Plus aucun sentiment. Pressant ton corps contre le siens, tu t’en contre fiche de ta nudité pour le moment, tout ce qui compte c’est lui. « Quel est ton nom démon ? Comment as-tu osé … » Murmurais-tu, promettant un mauvais quart d’heure au démon. Mais tu savais que les démons ne parlaient pas sur demande. Alors tu reprends le manche de ton couteau en main et à chaque mot que tu lui dis, tu tournes la lame dans la plaie, infiltrant ainsi plus de ce liquide qu’ils détestaient tant : « Ton. Nom. » Tu ne rigoles plus. Tu n’es plus là pour tes histoires de cœur. Cœur. Cœur. Isaac. Ton propre cœur marque un battement douloureux. Tu lui faisais du mal. Pendant un instant, ton regard perd de sa dureté pour quelque chose de plus faible, de plus fragile. Tu lui fais du mal. Tu oses t’en prendre à lui … Mais le démon ? Lâchant une grimace dédaigneuse, tu enfonces encore plus le couteau dans la blessure, tu étais pris au piège. Lui faire du mal et avoir ta réponse. Ou laisser le démon filer et manquer à ton métier.


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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptySam 17 Aoû - 19:07

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Tu sais quoi, il n'y a qu'une chose que je déteste plus que les exorcistes. Ce sont les exorcistes qui planque des armes dans leur vêtement. Il n'ont vraiment confiance en rien ni personne. Aller boire un verre en apportant un couteau plein de cette putain d'eau bénite, ce n'est pas vraiment être normal. Il n'y a que ces foutus exorcistes qui sont assez déglingués pour garder des armes sur eux vingt-quatre heure sur vingt-quatre et sept jour sur sept. Cette bande de tueur qui prétendent vouloir sauver le monde en tuant les miens. En quoi cela est un beau geste ? Ils pensent que cela est une bonne chose, mais en réalité ce ne sont que des tueurs en série. Aussi hideux et pourris que ceux qu'ils tuent ou renvoie en enfer. Il a fallut que tu aimes une pourriture pareille. Toutefois, il a mis un bon moment avant de comprendre enfin que j'étais là, avec toi. Il avait tout d'abord l'air blessé, sûrement blessé que tu ne parles de rien d'autre que de ses performances. Cela prouve qu'il tient à toi Isaac, au fond tu pourrais me remercier de faire autant pour toi. Je viens de lui offrir un moment de pur plaisir, que ni toi ni aucun autre n'aurait pu lui procurer. Grâce à moi, il t'aime encore plus, j'en suis certain. Merci qui ? Merci bibi.

Je dois bien avouer que j'aurais dû être beaucoup plus méfiant. Moi qui pensait qu'il n'oserait pas te faire le moindre mal, je me trompais lourdement. Au final, il n'était pas comme ton père. Celui-ci refusait de me faire quoi que ce soit de peur de te faire du mal, Loki ne se gêne pas pour ça. Tu devrais te méfier de ce type à l'occasion, il n'est pas net et est un peu trop impulsif à mon gout. Si je n'avais pas été assez stupide pour croire qu'il tiendrait assez à toi pour me laisser en paix, j'aurais pu éviter le couteau. Dos au mur, je sentais son corps nu faire pression contre le mien pour me retenir. Si je n'avais pas été dans une telle situation, j'aurais sûrement fait une remarque déplacé concernant son corps ainsi contre le mien. Mais je n'allais pas me la ramener, pas maintenant. Tournant la tête vers mon épaule touchée, je fis une grimace en voyant le sang en sortir. Quel enfoiré. « Quel est ton nom démon ? Comment as-tu osé … » J'avais bien envie de lui rire à la gueule. De lui dire que ses menaces il pouvait se les foutre où je pensais. Mais je ne savais pas vraiment ce qui m'en empêchait. Peut-être que je n'avais tout simplement pas envie de résister. Je voulais seulement te céder la place pour que tu prennes pour moi. Si c'est pas mignon ça. Pour cela il fallait que je sois distrait, et le couteau dans mon épaule aidait bien. Le sentant se tourner, je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri de douleur. Il n'y allait pas avec le dos de la cuillère lui lorsqu'il voulait une information. « Ton. Nom. » Fermant les yeux, je faisais tout mon possible pour ouvrir les portes de mon esprit. Prend ma place, me laisse pas entre les mains de ce détraqué. Je ne préfère pas imaginer ce qu'il pourrait me faire. S'il me ramène chez lui, je suis foutu. Mais pour ne pas montrer ma peur, je lui lançais une réplique comme toujours. « Pourquoi tu veux mon nom ? Tu veux que je te le fasse crier ensuite ? » En essayant de ne pas me laisser emporter par la douleur que m’infligeait mon épaule, je lui fis un beau clin d’œil. Le couteau s'enfonçait un peu plus, c'est là que je pu trouver la force de lui dire bye. Je t'ai mis dans la merde, maintenant débrouilles-toi mon beau.

Tu te mets à respirer fort, haletant, tu es beaucoup moins résistant que moi à la douleur. Ton regard a changé. Tu n'as pas l'air contrarié et bestiale que j'avais quand je le regardais. Les seules émotions présentes au travers de tes yeux sont la peur, la douleur et surtout l'incompréhension. Tu essais de te dégager mais son corps contre le tien t'empêche tout mouvement et pire encore, plus tu forces, plus le couteau s'enfonce dans ton épaule. Portant une main à celle-ci, tu la mets sur la main de Loki pour essayer de lui faire lâcher son couteau. Affolé, tu essais de réfléchir en quatrième vitesse, que s'est-il passé ? La dernière chose que tu as en mémoire et d'être arrivé dans cette ruelle avec Loki, puis ... plus rien. Tu te réveilles contre un mur, Loki nu contre toi, et un couteau enfoncé dans ton épaules gauche. « Lo.. Loki ! Arrête, qu'est-ce que tu fais ?! » Tu baisses la tête en sentant une seule et unique larmes couler sur ta joue. Pas une larme de tristesse, simplement une larme de douleur. Tu as toujours été une chochote. Depuis que tu es gosse. Lorsque certains enfant riaient lorsqu'ils tombaient, toi tu pleurais toutes les larmes de ton corps à la moindre petite coupure. Etrange pour un fils d'exorciste, mais tu n'as rien à voir avec ton père. Vous êtes des opposés. Relevant la tête, tu n'oses quand même pas le regarder dans les yeux. Tu ne sais pas ce qu'il te veut, tu ne comprends pas pourquoi il te fait ça. Tout ce que tu veux c'est qu'il te lâche, ou qu'il te prenne dans ses bras. Qu'il te tue à la limite, mais qu'il arrête de te faire souffrir ainsi. Il te faisait du mal en osant te faire cela, pas physiquement, mais à l'intérieur.
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyJeu 29 Aoû - 8:51




Ses mots que tu n’arrives pas à lui dire. Ses mots qui restent bloquer dans ta gorge. Qui t’irrite cette dernière au point où tu serrais capable de cracher tes poumons tellement ça te fait mal. Tu aimerais lui dire, juste une petite fois, juste le penser. Mais on t’a éduqué pour être une machine à tuer, pas à aimer. Pour toi, ta vie se résume à souffrir et faire souffrir. Ça devient banal d’avoir mal, temps que tu rends les coups. L’idée de mourir ne te fais pas peur, mais l’idée d’aimer, de t’attacher à quelqu’un, te terrifie. Car c’est un point de faiblesse. C’est pour te faire souvenir que tu ne seras qu’un simple humain. Un simple minable humain qui saigne et qui meurt une fois vidé de son sang. Aucun pouvoir. Aucune défense. A part tes armes et ton enveloppe charnelle qui, avec un entraînement quotidien t’as permis de tenir face à tes ennemis. Mais tout ça. Toutes ses armes que tu as sur toi, toutes ses prises que tu as apprises, toutes ses paroles que tu connais par cœur pour faire ton boulot correctement, allaient elles te servir devant lui. Devant Isaac. Devant son démon. Moi je ne pense pas. Et tu sais quoi ? La meilleure c’est que toi aussi tu sais que tu ne le feras pas souffrir. Ton geste, contre son épaule n’était que défensif. Juste une vengeance personnelle du mal qu’il lui avait provoqué avec son absence pendant vingt longue années. Pas parce que se démon t’avait souillé. Tu étais plus que fier d’être marqué par lui. Certes, le démon était celui qui avait dirigé tout ça mais le geste restait le même. C’était juste une excuse qui te semblait correcte vis-à-vis à ta famille. Mais ta famille, elle s’en fou de ce que tu fais de ton derrière. Tant que tu tues leurs ennemis qui sont les tiens maintenant. Et en portant son nom aussi. La famille Lewis avait une réputation de très bon chasseur et toi tu sentais ce lourd point sur tes épaules. Ce poids qui te rappelait qu’il fallait être le meilleur. Ah oui. Ne pas penser de la famille, tu l’avais quitté, c’était bon, tu n’allais plus en entendre parler. Que nenni.  

Ce démon, tu l’avais tout de suite identifié comme pas trop dangereux. Un démon qui préférait s’amuser, torturer son hôte que tuer sans réfléchir. Car les démons qui tuaient sans réfléchir étaient plus dur à tuer. Là tu avais même le temps de voir l’expression certes minuscule mais visible de douleur sur son visage. Tu aimes quand tes victimes crient leurs mal que tu leurs procure. Au final, peut être que tu ne vaux pas mieux que ceux que tu chasses. Le voyant fermer les yeux, tu peux profiter de cet instant pour cartographier son visage dans ton esprit. Car tu sais qu’après, tu ne pourras plus l’approcher. Encore de longues années à se demander comment il allait. Où il était. S’il pensait à lui comme tu pensais à lui. « Pourquoi tu veux mon nom ? Tu veux que je te le fasse crier ensuite ? » Ta bouche se tord dans une moue dégoûtée alors que tu enfonçais un peu plus le couteau. Lentement, doucement. Pour le faire souffrir un peu plus. Ce démon voulait encore t’approcher pour des fins charnelles. Il n’avait donc pas compris que tu ne te ferais pas prendre deux fois au même jeu. Plongé dans tes pensées, tu ne vois même pas le changement en lui. Tu le sens certes secoué un peu, gémir son mal alors qu’il essayait de bouger, s’enfonçant un peu plus lui-même sur la lame, mais tu t’en fiches. Tu réfléchir. Que vas-tu lui faire ? Veux-tu faire souffrir celui que tu as tant attendu ? Vingt ans pour rien. Vingt ans de manque que tu voudrais détruire comme ça. Tu repenses à la sensation de vide qui pesait sur ton cœur en son absence. Tu sens sa main sur la sienne et ne peut t’empêcher de frémir de tout ton corps. Il avait un sacré contrôle sur toi, c’était indescriptible. Relevant ton regard froid vers lui, tu comprends qu’il s’est passé quelque chose. Il a l’air diffèrent. Humain. « Lo ... Loki ! Arrête, qu'est-ce que tu fais ?! » Fronçant les sourcils, tu le vois verser une larme. Et tu te dis ; ‘ou j’ai merdé ?’

Isaac. Pas son démon. C’était Isaac. Ce fils de … Il lui avait refilé sa place pour qu’il souffre à sa place. Retirant ton couteau d’un geste vif comme pour essayer d’effacé son geste, tu grimaces discrètement. Qu’à tu fais ? Que vas-tu faire ? Et si le démon revenait ? Pas le temps de réfléchir, le voir souffrir te fait mal. Tu prends rapidement ton boxer et ton pantalon que tu enfiles. Glissant ton couteau encore sale dans ta chaussure, tu mets ta paire de botte et revient rapidement vers Isaac, ta veste à la main. Tu fais quoi là ? Ne penses même pas a … Non ! Tu ne peux pas le ramener chez toi ! Mettant ta veste sur les épaules du possédé, tu lui fais un signe de main de le suivre et commence à marcher vers chez toi. Tu veux le soigner. Le ramener dans ta grotte alors que le démon pouvait revenir quand il voulait. Tu te parlais tout seul sur le chemin, réfléchissant à trop de chose mais t’arrêtais de temps en temps pour regarder si Isaac suivait encore. Le voir souffrir te faisait mal. Prenant tes clefs dans ta poche gauche de ton jean, tu ouvres la porte de ton appartement et le laisse passer avant de fermer la porte à clefs derrière lui. Remettant cette dernière dans ta poche, tu ne voulais pas qu’il cherche à s’échapper. Ignorant tes armes qui traînaient un peu partout chez toi, tu vas chercher la trousse de soins dans la salle de bain, ranges un peu cette dernière pour qu’elle soit un peu plus présentable. « Isaac, viens ici. » Rien de plus. Un ordre. Certes de ta voix la plus douce mais il restait un ordre. Tu n’arrivais pas à retirer cette sensation d’irritation dans ta gorge. Ses mots que tu voulais tant lui dire. Qui ne sortait pas. Lui montrant le tabouret de l’index, tu essaies d’être le plus sympathique mais tes gestes reste froid.  « J-je suis désolé pour ça … J’aurais dû le sentir que cette saloperie était en toi ! Putain Isaac, fallait le dire quoi ! Avant même d’engager la discussion avec moi. Putain de ville. » Tu t’énervais. Ton incapacité t’énervait. Ton manque de déduction t’énervait. Il t’énervait et tu l’aimais en même temps. Foutu sentiments.
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C. Isaac Strokes
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MessageSujet: Re: LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become.   LOKISAAC ∞ Somebody help me tame this animal I have become. EmptyVen 30 Aoû - 13:09

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Tu ne sais pas ce qui te faisait le plus de mal. Ce couteau planté dans ton épaule ou le fait qu'il ai pu te faire du mal. Tu savais que ton père ne te ferais jamais de mal, que même si tu abrites contre ton gré une créature du mal, il ne pourrait jamais l'exorciser par peur que tu ne périsses en même temps que lui. Mais qu'en était-il de Loki ? Il venait de t’enfoncer un couteau imbibé d'eau bénite en pleine épaule et faisait tout pour te faire le plus de mal possible avec. Et même si pour la plupart des exorcistes ce n'était qu'une égratignure, pour toi c'était déjà trop. Tu n'étais pas un exorciste, ces conneries n'étaient pas pour toi. Tout ce que tu veux c'est vivre tranquille avec ta famille, ta fille et quelqu'un pour te faire vibrer. C'est lui que tu veux, Loki, et même si tu ferais tout pour l'avoir tu sais bien que c'est totalement impossible. Encore une fois, tu ne peux pas avoir ce que tu désires le plus au monde. Tu ne savais même pas ce que tu étais aux yeux de Loki. Peut-être qu'il se souvenait de ton nom, mais que pour lui tu restais le garçon qui l'avait harcelé plusieurs années en arrière. Il t'avait déjà ignoré pendant des heures, alors pourquoi aurais-tu marqué son esprit ? Il ne te regardait même pas, donc tu ne l'avais pas intéressé le moins du monde.

Tu pensais avoir un peu moins mal quand il aurait retiré l'objet coupant de ta chair, mais tu t'étais lourdement planté. Au contraire, la douleur était encore plus intense et le sang se mis à couler de la blessure béante. Torse nu, il n'y avait eu aucun obstacle entre le couteau et ta peau, pas même un bout de tissu pour freiner l'arme. D'ailleurs, tu ne sais même pas pourquoi tu n'as pas de tee-shirt, ni pourquoi Loki était nu comme un verre. Il ne disait pas un mot, comme si on lui avait coupé la langue. Lorsqu'il se recula de toi pour aller chercher ses vêtements tu ne pus t'empêcher de le regarder. La situation n'était pas appropriée et pourtant tu ne pouvais t'empêcher de laisser tes yeux faire la navette, de ses pieds à sa tête. Il n'y avait rien à jeter. Il était sublime. Et si tu avais réagis avant tu aurais pu en profiter à ma place abruti, enfin je ne vais pas m'en plaindre moi. Lorsqu'il revient vers toi, tu détournes vite le regard pour ne pas passer pour un pervers -que tu es- et essais même de reculer pour qu'il ne t'approche pas ayant peur de ce qu'il pouvait te faire. Tu as un mur derrière toi Einstein, si t'arrives à reculer je t'appelle Batman. Mais au lieu de t'attaquer, il pose sa veste sur tes épaules nues. D'un signe de main, il te demande de le suivre. Tu as alors le choix. Rester ici, seul, et essayer de rentrer jusque chez toi sans te mettre à chialer avant d'avoir atteint ton domicile. La deuxième option consiste à suivre ce charmant jeune homme et voir ce qui se passera ensuite. Isaac, arrête de toujours être parano et croire que la terre entière te veux du mal, je pense qu'il veut simplement te soigner, ou bien écarter tes cuisses qui sait. Suis le, ne reste pas ici, il fait froid, on va attraper la mort.

Après deux secondes de réflexion, tu décides finalement de le suivre. Après tout, tu ne crains pas grand chose, tu ne sais pas te battre mais en faisant les yeux doux il t'épargnera peut-être. Marchant à pas lent derrière lui pour garder une distance raisonnable entre vous, tu laisses ta main sur ta blessure pour empêcher le sang de couler. Vous marchez alors en silence. Tu n'osais rien dire, en même temps comment engager la conversation ? C'était assez délicat il fallait bien l'avouer. Alors tu baisses la tête, et tu mets un pied devant l'autre pour marcher jusque chez lui. Du moins, tu supposes qu'il t'emmène chez lui. Une fois devant la porte, il l'ouvrit et te laissa passer devant. L'intérieur était tel que tu l'avais imaginé. Des armes abandonnées ici et là dans la pièce. Une entre d'exorciste quoi. Et même si tu n'étais qu'en présence de Loki, tu ne te sentais pas en sécurité, tu en avais presque du mal à respirer. « Isaac, viens ici. » C'était un ordre ? Isaac, tu vas pas le laisser te parler ainsi tout de même. Même si sa voix n'était ni agressive ni autoritaire, il n'a pas à te donner des ordres, révoltes-toi un peu ! Au lieu de ça, tu t'avances vers lui en traînant les pieds et tu viens t'installer sur le tabouret. Ton regard ne quitte pas le visage de ton interlocuteur. Enlevant ta main, tu le laisses commencer à te soigner. « J-je suis désolé pour ça … J’aurais dû le sentir que cette saloperie était en toi ! Putain Isaac, fallait le dire quoi ! Avant même d’engager la discussion avec moi. Putain de ville. » Tu ne peux t'empêcher de te détendre en entendant cela. Il ne va donc rien te faire ? Tu gardes les yeux fixés sur lui, même si lui est concentré sur ta blessure, toi tu ne le quitte pas du regard. Pourquoi tu ne lui avais pas tout dis ? Pour rester en vie, sûrement. « ... pour que ton père tente de m'exorciser et me tue ? Si jamais quelqu'un essaie de me libérer de ce démon, je meurs. » Tes dents chopes ta lèvres inférieurs et mordillent ce morceau de chair doucement. Tu avais proposé à ton père de demander de l'aide, mais il n'avait pas voulu, il avait refusé. Lui connaissait bien la famille Lewis, ils n'avaient pas la réputation des plus tendres, ils étaient d'ailleurs connu pour être sans pitié. Des exorcistes hors pairs qui traquaient leur proie jusqu'à ce qu'elle périsse. Silas ne voulait pas que tu finisses par être une de leur proie, tu n'y survivrais pas.

Serrant les dents en sentant ses gestes assez rudes, tu fais tout ton possible pour ne pas crier, tu ne veux pas passer pour un faible aux yeux de cet homme, tu veux être le plus fort possible. Mais tu es faible, Isaac, depuis toujours. Reportant ensuite ton attention sur ton torse dénudé, ne portant qu'une veste posée sur tes épaules par Loki, une autre question te viens à l'esprit. Tu recommences à te mordiller la lèvre alors avant de poser ta question. C'est un tic nerveux chez toi. « Que s'est-il passé dans cette ruelle ? Pourquoi étions nous ... presque nus ? » Sentant le rouge te monter au visage, tu reposes vite une autre question. « Qu'est-ce qu'il t'a dit pour que tu l'attaques ? » Oui peut-être que tu l'harcèles de question, mais tu as besoin de savoir. Et c'est ton droit le plus entier. Si seulement tu pouvais voir tout ce que ton démon faisait, cela te simplifierait la tâche, la vie.
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