ANCIEN ASILE DE FOUS › Créé en 1875 dans la ville reculée qu'est Misty Hill afin d'y cacher les cas les plus sévères de troubles psychologiques de la région, cette vieille bâtisse qui peu à peu tombe en ruine est certainement un des lieux qui possède la plus sombre histoire d'Ecosse. Édifice aux murs en béton, froids, encore marqués par les divers séjours des pensionnaires qui ont empruntés ses couloirs on ne peut pas dire que l'ancien asile est très attirant. Excepté peut-être pour les petits malins qui viennent fréquemment ici la nuit pour tester les légendes locales et faire passer aux petits nouveaux, aux jeunes enfants, les rites initiatiques pour être accepter au sein de la communauté de Misty Hill. Jeunes brebis égarées qui ne mesurent pas le danger... En effet, si la jeunesse mistylienne n'a cure des mythes, il n'en reste pas moins que l'ancien asile possède depuis près de cents ans maintenant le titre de "maison la plus hantée d'Ecosse" avec tous les événements tragiques, les tortures et les crises d'hystérie, de paranoïa et de schizophrénie qui ont ébranlées ces murs. Car des morts, il y en a eu. Personne ne sait combien, comment, si les patients sont disparus des suites de leur maladie, d'un suicide ou à l'issu d'une mystérieuse entreprise. Oui, personne à ce jour ne sait encore précisément ce qui s'est passé à l'asile de Misty Hill et pourquoi l'aura que dégage ce lieu est si oppressante.

SE NOIE L AME › Douces vagues s’écrasant sur les récifs montagneux de cette côte acerbe, dangers suprêmes que ces falaises au loin tâches de son sur le paysage embrumés de souvenirs déserts, ces figurines mouvantes que les agates aperçoivent ! Déchainées cet océan instable et ses cris diluviennes comme sortis des fonds des gouffres de l’enfer. Il n’y fait pas bon de se baigner car, les gigantesques bêtes rampantes sur les vagues salées que les larmes versés par ces marins voyant de leur face cette silhouette sa faux en main ! Des récifs récalcitrants à donner leurs secrets aux jeunes personnes plongeant en quête peut-être d’adrénaline, d’adultes la main sur ces roches en titanes ! La plage décoration funeste de Misty Hill.

MYSTERE VERDATRE › Conte merveilleux ô inspiration ! Les arbres s’inclinent sous le passage des pieds des marchands, vierges, enfants prenant le sentier énigmatique d’un chemin riche solitaire d’infâme gouvernance ! Ici les oiseaux silencieux observent les mortels, les hiboux hululent à trembler les saints vagabonds, les nuages bas de danger infinis explosent leur colère sur ces naufragés de soufre. Noire est cette forêt ! Dévastatrice les corps qu’on y retrouve, gelés, incendiés ! Hantée dit-on par les assassins, les monstres souterrains ! Les branches semblent parler là, tremblotant la gourmandise éteinte ! Les corbeaux semblent poster, préscience d’une attaque à venir pour ces pauvres âmes courageuses à traverser de défi, cette épreuve qu’est ce lieu à l’aura malsaine !

TERRES BRUMEUSES › Zone située à l'écart de toute civilisation, les landes, vaste étendue d'arbustes asséchés, nature morte, sont certainement le lieu le moins visité de Misty Hill. Terres de légendes, terres embrumées du matin au soir, on raconte qu'ici vit un chien des enfers, un monstre au pelage noir de jais, aux yeux rouges et aux canines acérées. Chimère digne d'un roman de Conan Doyle, tel le chien des Baskerville. Ainsi, selon les croyances il ne fait pas bon de se promener dans les landes à la nuit tombée, plusieurs témoins assurent avoir vu de leurs yeux cet animal rôder. Passer un moment plusieurs cadavres furent retrouvés dans ces collines désertiques, des morts mystérieuses, mises sur le compte de l'inconscience car dans ce paysage plusieurs marais -sorte de sable mouvant- sont disséminés de-ci de-là et il n'est pas sans danger de se promener au bord.

DEBAUCHE DE PLAISIR › Ô chaleur sentimentale prenant les hommes en son sein, ces êtres incarnats, indolents que le destin sommeil des épousées de marbre transportant la luxure bénie de ces monstres rampants la débauche ! Cet endroit dégorge de richesses malléables, partout l’or coule sur les murs dévots d’un monde à part, partout les créatures merveilleuses d’habits transparents portent la jeunesse sur leur main soignées, douces de solitude vainqueur ! Elles sont les joyaux de la couronne au fond de cette pièce maudite que l’homme regarde de ses orbes maléfiques le fonctionnement de son royaume ! Les chambres, brûle les flammes dans l’âtre amer que les joies amènent sur des lits de satin, sur des draps de soie ! Le lieu est ouvert lorsque la lune cristalline allume sa chandelle argentée de son sourire narquois !