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C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac
monsters are real, ghosts are real too, they live inside us, and sometimes, they win



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MessageSujet: C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac   C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac EmptyJeu 25 Juil - 20:48


Trahison Il te répugnait. Comment pouvait-il faire comme si de rien n'était ?  « Je t'écoute, de quoi veux-tu parler ? Et t'étais passé où ? Pourquoi t'es plus venu travailler ? » Il te déboussolait. Tu avais envie de repartir aussi vite que tu étais venue. S'il voulait t'humilier, il y était bien arrivé. Tu n'aurais pas du venir, définitivement. La plus grosse bêtise qui ait pu te venir en tête. Tu étais sûre que dans son coin, il devait bien rire de te voir débarquer chez lui, en furie, il devait bien rigoler de t'avoir fait virer, toi la petite blonde, en total décalage du vingt-et-unième siècle. Mais tu étais têtue, un défaut, sûrement, têtue et parfois impulsive et tu avais de la jugeote, il pouvait penser qu'en tant que blonde tu étais bête mais il allait voir que tu ne l’étais pas, il voulait jouer ? Soit et bien u joueras aussi, on verra bien qui sera le plus fort, te dis-tu. Tu répondis donc, ne cachant pas ta colère: "Parler de quoi ?! Je te le demandes Isaac Strokes, moi qui croyais que on pouvait devenir amis... " Sur ces mots tu rigolas, d'un rire nerveux. Tu te fichais bien qu'il te regardes avec des drôles d'yeux. Il croyait que tu allais te laisser faire sans rien dire ? Il avait tort. Puis tu te dis que te mettre en colère ainsi était un peu lui donner raison, tu ne voulais pas lui donner raison, pas te rabaisser à sa position alors tu tentas de te calmer et repris assez ironiquement : "Pourquoi je suis plus venue travailler ? Tu devrais le savoir non ? C'est ce que tu voulais, hein, que je me fasse virer, la petite blonde incapable de faire quoi que ce soit et bien je te le dis, tu as gagné sur ce tableau mais je me laisserais pas faire sans rien dire. Je veux savoir Isaac ? Qu'est ce que j'ai fais pour que tu me détestes ?  " Tu avais dis ces mots sans reprendre ta respiration à tel point que tu en avais le souffle coupé, ton cœur battait la chamade et tu tentais de  te calmer pour reprendre tes esprits. Il le fallait.

Observation.
Tu étais entrée chez Isaac. Une belle maison, il fallait l'avouer. Tu ne râtais pas une miette, observant tous les coins et recoins. « Je suis fatigué Aimée. Je sais pas ce que je t'ai fais pour que tu me lances ces regards assassins mais j'aimerais qu'on en parle plus tard, si ça ne te dérange pas. » "Parler plus tard ? Non je crois pas, ça fait des jours et des jours que je rêve de cette explication alors maintenant pas besoin de te défiler, dis moi juste ce que tu me reproches et je partirais, tu n'entendras plus jamais parler de moi, tu te retrouveras à faire les services seul au bar, c'est ce que tu voulais n'est ce pas ?  " A ces mots, tu te dis que tu y allais peut être un peu fort, ce n'était pas dans tes habitudes, normalement, tu étais plutôt du genre douce mais là, tu n'y arrivais pas. La colère e lisait sur ton visage, tu avais perdu le sourire qui normalement illuminait toujours ton visage. Mais tu te sentais blessée, blessée par cette homme, trahie. Tu n'avais rien vu venir. Il avait bien caché son jeu. Et si il voulait te faire virer depuis le début ? S'il n'avait fait que jouer avec toi ? Te manipuler ?  Une nouvelle désillusion. Deux ans que tu découvrais le monde, que tu avais quitté le cocon dans lequel on t'avait enfermée depuis ta naissance. Deux ans que tu te rendais compte que tous les gens n'étaient pas gentils, que tu te faisait avoir, quelques fois, que tu apprenais à savoir en qui tu pouvais faire confiance et de tu devais t'éloigner. Tu t'étais trompée sur Isaac, définitivement. Alors que tu t'apprêtais à prendre la parole, tes yeux se posèrent sur une photo. C'était Isaac, sans aucune hésitation avec une petite fille. Avait-il une fille. Curieuse que tu étais, tu ne pu t'empêcher de lui demander: "C'est ta fille ?  " Puis tu te rendis compte que tu étais sans doute incorrecte alors tu décidais de changer de sujet. Qu'est ce que ça faisait qu'il ait une fille après tout ? Il devait être un excellent père, tu en étais sûre mais ça ne changeait pas ce que tu ressentais envers lui à ce moment précis...

Contradictions. Tu avais envie de lui déverser toute ta haine et pourtant quelque chose t'y empêchais... Il avait semblé tellement sincère au début de votre entrevue. Mais tu finis par te dire que il devait encore être entrain de jouer avec toi, de te mener en bourrique, on t'avais dit ce qu'il avait dit sur toi, pourquoi essaierais-tu de lui trouver des excuses ? Il n'en avait pas, tu finis par dire: "Ça t'as fait plaisir de me voir virée, hein ? Non mais je comprends tu sais... Avoir deux mains gauches pour t'aider, c'était pas vraiment de l'aide....  "


Dernière édition par C. Aimée-Jezabel Storm le Sam 27 Juil - 17:11, édité 2 fois
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C. Isaac Strokes
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MessageSujet: Re: C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac   C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac EmptySam 27 Juil - 12:46




C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac Tumblr_mqlh69LLiF1s99grzo1_500Il y a des jours où certaines personnes ne se lèvent pas du bon pied. Dès le réveil, elles sont de mauvaise humeur et il est presque impossible de leur adresser la parole sans se faire envoyer sur les roses. Et bien c'était tout à fait ton cas aujourd'hui. D'une certaine manière, c'est un peu de ma faute j'imagine. Je ne fais rien pour arranger les choses, j'aime te titiller. Mais tu avais fais un effort toute la journée pour garder ton calme. Tu sais bien que le stresse et la colère sont des appels à la possession. Que si tu t'emportes, je pourrais facilement prendre le contrôle. Tu vois, au fond, heureusement que je suis là. Sans ma présence, tu ne ferais pas attention à tes émotions, tu serais souvent sur les nerfs, peut-être même en colère parfois. Mais en ces circonstances, tu ne dois pas t'énerver. Tu ne dois jamais baisser ta garde. Alors, tu pourrais me remercier, Isaac. Mais malgré la fatigue qui pesait sur tes épaules, tu étais arrivé à trouver un moment de repos. Allongé sur le canapé, ta petite fille dans tes bras, tu gardes les yeux fermé pour essayer de dormir. Car même si tu sais que je vais en profiter pour aller me dégourdir les jambes, tu sais que tu as besoin de te reposer. C'est primordiale. Tu es un humain, mais ça tu as tendance à l'oublier quand il s'agit de tout faire pour me garder enfouis au fond de toi. Lisana a la tête posé contre ton torse, sa petite main autour de toi. Qu'elle est mignonne. Ta main se lève pour caresser ses cheveux, tu adores la voir dormir. Son calme t'apaise, elle est reposante. Mais alors que tu vas enfin sombrer dans les bras de Morphée, tu entends la sonnette retentir. Serrant les dents, tu marmonnes quelques mots incompréhensibles en te levant doucement pour ne pas réveiller ta puce. La prenant dans tes bras, tu l'emmènes jusqu'à sa chambre pour la poser doucement sur son lit. Relevant la couverture sur son petit corps, tu l'embrasses sur le front. La sonnette retentit de nouveau, tu sers les dents en murmurant. « C'est bon, j'arrive... »

Relâchant ta puce, non sans mal, tu marches d'un pas nonchalant vers la porte. Si c'est ton père, tu comptes bien l'envoyer sur les roses. Si c'est quelqu'un d'autre, tu vas faire bien pire. Ouvrant la porte, tu vois la dernière à qui tu aurais pensé. Aimée. Une femme qui travaillait avec toi au bar, avant. Tu ne sais pas trop pourquoi elle a été renvoyé, moi je sais. Du jour au lendemain, tu n'as plus entendu parlé de cette femme que tu considérais pourtant comme une amie. Ton patron ne t'a rien dit et tu n'avais pas revu Aimée depuis. « Il faut qu'on parle, je crois, Isaac » Ohoh, les ennuis arrivent mon chou. Depuis le temps que j'attendais ça. Ouvrant la porte, tu l'invites à entrer, trop galant pour la faire rester dehors. Personnellement, je lui aurait fermé la porte au nez. Elle te parle mal, et toi tu restes gentil. L'humain est pathétique. Parler ? C'est barbant, on peut faire quelque chose de plus amusant poupée. Je lui aurais répondu ça. Dommage que tu sois trop coincé pour te la faire, elle est pas mal. C'est dommage que tu n'en profite pas, avec la belle gueule que t'as, t'aurais pas de mal à emballer. Je t'ai pas choisis pour rien, merde. Refermant la porte derrière elle, tu t'adosses au mur, petit tic que tu as développé il y a peu de temps. « Je t'écoute, de quoi veux-tu parler ? Et t'étais passé où ? Pourquoi t'es plus venu travailler ? » Croisant les bras, tu es déjà à deux doigts de t'endormir. Elle n'a vraiment pas choisis le bon moment pour débarquer chez toi. Avec toute la gentillesse du monde, tu pousses un long et profond soupir avant d'enchaîner. « Je suis fatigué Aimée. Je sais pas ce que je t'ai fais pour que tu me lances ces regards assassins mais j'aimerais qu'on en parle plus tard, si ça ne te dérange pas. »

Bien sûr que ça la dérange, et tu le sais. Tu la connais assez bien pour savoir qu'elle est assez bornée pour ne pas partir de cette maison avant d'avoir eu ses réponses. Tu ne sais pas ce qu'elle te veux, tu ne sais pas pourquoi elle a l'air en colère contre toi. Mais au fond, tu sais que c'est de ma faute. Lorsque je prend possession de ton corps, je peux faire ce que bon me semble, tu n'en as aucun souvenir quand tu reviens à toi. Tu ne sais pas ce que je fais quand tu dors. Et bien voilà ce que j'ai fais, j'ai fais virer ton amie. Voilà pourquoi elle doit l'avoir mauvaise. Ne me demande pas pourquoi j'ai fais ça, je n'en ai pas la moindre idée. Tout ce que je sais, c'est que j'en ai bien ris, et j'en ris encore. Si seulement je pouvais avoir les commandes de ton corps, je pourrais encore plus t'enfoncer. Je te conseille de garder ton came Isaac, sinon c'est moi qui aurait le contrôle de ton enveloppe charnel, et Dieu sait ce que je serais capable de lui faire.
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MessageSujet: Re: C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac   C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac EmptySam 27 Juil - 17:13


Trahison Il te répugnait. Comment pouvait-il faire comme si de rien n'était ?  « Je t'écoute, de quoi veux-tu parler ? Et t'étais passé où ? Pourquoi t'es plus venu travailler ? » Il te déboussolait. Tu avais envie de repartir aussi vite que tu étais venue. S'il voulait t'humilier, il y était bien arrivé. Tu n'aurais pas du venir, définitivement. La plus grosse bêtise qui ait pu te venir en tête. Tu étais sûre que dans son coin, il devait bien rire de te voir débarquer chez lui, en furie, il devait bien rigoler de t'avoir fait virer, toi la petite blonde, en total décalage du vingt-et-unième siècle. Mais tu étais têtue, un défaut, sûrement, têtue et parfois impulsive et tu avais de la jugeote, il pouvait penser qu'en tant que blonde tu étais bête mais il allait voir que tu ne l’étais pas, il voulait jouer ? Soit et bien u joueras aussi, on verra bien qui sera le plus fort, te dis-tu. Tu répondis donc, ne cachant pas ta colère: "Parler de quoi ?! Je te le demandes Isaac Strokes, moi qui croyais que on pouvait devenir amis... " Sur ces mots tu rigolas, d'un rire nerveux. Tu te fichais bien qu'il te regardes avec des drôles d'yeux. Il croyait que tu allais te laisser faire sans rien dire ? Il avait tort. Puis tu te dis que te mettre en colère ainsi était un peu lui donner raison, tu ne voulais pas lui donner raison, pas te rabaisser à sa position alors tu tentas de te calmer et repris assez ironiquement : "Pourquoi je suis plus venue travailler ? Tu devrais le savoir non ? C'est ce que tu voulais, hein, que je me fasse virer, la petite blonde incapable de faire quoi que ce soit et bien je te le dis, tu as gagné sur ce tableau mais je me laisserais pas faire sans rien dire. Je veux savoir Isaac ? Qu'est ce que j'ai fais pour que tu me détestes ?  " Tu avais dis ces mots sans reprendre ta respiration à tel point que tu en avais le souffle coupé, ton cœur battait la chamade et tu tentais de  te calmer pour reprendre tes esprits. Il le fallait.

Observation.
Tu étais entrée chez Isaac. Une belle maison, il fallait l'avouer. Tu ne râtais pas une miette, observant tous les coins et recoins. « Je suis fatigué Aimée. Je sais pas ce que je t'ai fais pour que tu me lances ces regards assassins mais j'aimerais qu'on en parle plus tard, si ça ne te dérange pas. » "Parler plus tard ? Non je crois pas, ça fait des jours et des jours que je rêve de cette explication alors maintenant pas besoin de te défiler, dis moi juste ce que tu me reproches et je partirais, tu n'entendras plus jamais parler de moi, tu te retrouveras à faire les services seul au bar, c'est ce que tu voulais n'est ce pas ?  " A ces mots, tu te dis que tu y allais peut être un peu fort, ce n'était pas dans tes habitudes, normalement, tu étais plutôt du genre douce mais là, tu n'y arrivais pas. La colère e lisait sur ton visage, tu avais perdu le sourire qui normalement illuminait toujours ton visage. Mais tu te sentais blessée, blessée par cette homme, trahie. Tu n'avais rien vu venir. Il avait bien caché son jeu. Et si il voulait te faire virer depuis le début ? S'il n'avait fait que jouer avec toi ? Te manipuler ?  Une nouvelle désillusion. Deux ans que tu découvrais le monde, que tu avais quitté le cocon dans lequel on t'avait enfermée depuis ta naissance. Deux ans que tu te rendais compte que tous les gens n'étaient pas gentils, que tu te faisait avoir, quelques fois, que tu apprenais à savoir en qui tu pouvais faire confiance et de tu devais t'éloigner. Tu t'étais trompée sur Isaac, définitivement. Alors que tu t'apprêtais à prendre la parole, tes yeux se posèrent sur une photo. C'était Isaac, sans aucune hésitation avec une petite fille. Avait-il une fille. Curieuse que tu étais, tu ne pu t'empêcher de lui demander: "C'est ta fille ?  " Puis tu te rendis compte que tu étais sans doute incorrecte alors tu décidais de changer de sujet. Qu'est ce que ça faisait qu'il ait une fille après tout ? Il devait être un excellent père, tu en étais sûre mais ça ne changeait pas ce que tu ressentais envers lui à ce moment précis...

Contradictions. Tu avais envie de lui déverser toute ta haine et pourtant quelque chose t'y empêchais... Il avait semblé tellement sincère au début de votre entrevue. Mais tu finis par te dire que il devait encore être entrain de jouer avec toi, de te mener en bourrique, on t'avais dit ce qu'il avait dit sur toi, pourquoi essaierais-tu de lui trouver des excuses ? Il n'en avait pas, tu finis par dire: "Ça t'as fait plaisir de me voir virée, hein ? Non mais je comprends tu sais... Avoir deux mains gauches pour t'aider, c'était pas vraiment de l'aide....  "


/!\ JE SUIS UNE BOULETTE. TAPES MOI FOUETTES MOI C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac 2598218768 alors j'mexplique, j'ai tapé ma réponse en éditant la premier sujet pour reprendre la mise en page résultat y a plus le début du RP:roll: Mais ya deux fois la réponse que je viens de faire C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac 671904057 
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C. Isaac Strokes
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MessageSujet: Re: C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac   C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. + ft.isaac EmptyDim 1 Sep - 18:46

c’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

Tu restais pendu à ses lèvres. « Parler de quoi ?! Je te le demandes Isaac Strokes, moi qui croyais que on pouvait devenir amis... » Tu entendis ensuite un rire lui échapper. Un rire lourd de peine, même si elle refusait de le montrer tu voyais bien dans sa voix cassé qu'elle était peinée. Et même si tu ne savais pas ce qui causait son trouble tu avais envie de la réconforter. Lui faire un câlin de consolation en lui disant que tu étais désolé, et même si tu n'avais aucune raison de t'excuser au moins elle irait peut-être un peu mieux. « Pourquoi je suis plus venue travailler ? Tu devrais le savoir non ? C'est ce que tu voulais, hein, que je me fasse virer, la petite blonde incapable de faire quoi que ce soit et bien je te le dis, tu as gagné sur ce tableau mais je me laisserais pas faire sans rien dire. Je veux savoir Isaac ? Qu'est ce que j'ai fais pour que tu me détestes ? » Ton cerveau était en ébullition, mais qu'est-ce qu'elle te reprochait exactement ? Tu avais du mal à saisir pourquoi elle te faisait une scène alors que tu n'avais absolument rien à ton tableau d'erreur. « Mais voyons Aimée, je ne te déteste pas. Je ne comprend pas tes reproches... Je n'ai jamais souhaité ton licenciement. » C'était la pure vérité. Pourquoi aurais-tu souhaiter la voir partir ? Tu t'amusais bien plus lorsqu'elle était au bar avec toi, tu avais enfin quelqu'un à qui parler et cela faisait un bien fou. Alors au contraire, son dépars te faisait plus de peine qu'autre chose. « Parler plus tard ? Non je crois pas, ça fait des jours et des jours que je rêve de cette explication alors maintenant pas besoin de te défiler, dis moi juste ce que tu me reproches et je partirais, tu n'entendras plus jamais parler de moi, tu te retrouveras à faire les services seul au bar, c'est ce que tu voulais n'est ce pas ? » Elle était complètement à côté de la plaque celle-là. Met lui un truc dans la bouche qu'on l'entende plus, Isaac s'il te plait, ça nous fera des vacances. J'aurais peut-être pas dû la faire renvoyer, elle serait pas là en train de nous casser les noix alors que tu ne rêves que d'aller te coucher auprès de ton ange, ta puce.

Elle semblait presque à deux doigts de te foutre sur la gueule. La colère que son visage affichait était déconcertante. Elle m'aurait limite foutu la tremblote. Puis, levant les yeux vers une photo posé sur un meuble, elle te pose une question complètement hors sujet. « C'est ta fille ? » Affirmatif. Quel bon sens de la déduction dis moi. Tu ne comprenais pas vraiment pourquoi ce changement de sujet subit mais tu réponds tout de même en hochant la tête. « Oui c'est ma fille, et elle vient juste de s'endormir alors si tu pouvais éviter de parler si fort ça m'arrangerait. » Tu n'avais pas envie que Lisana ne se réveille et vienne demander avec qui son père était en train de se disputer. Comme lui expliquer qu'une femme était arrivée chez eux comme une furie pour lui faire un tas de reproche non fondées. « Ça t'as fait plaisir de me voir virée, hein ? Non mais je comprends tu sais... Avoir deux mains gauches pour t'aider, c'était pas vraiment de l'aide....  »

Tu ne savais pas quoi lui dire. Quoi que tu puisses dire elle ne te croirait pas de toute manière, et pourtant tu lui dis la vérité. Sans parler de moi bien sûr, tu ne veux pas qu'elle te prenne pour un fou si tu lui avoues être possédé par un démon et que c'est sûrement lui qui l'a faite licencier. « Bien sûr que non je ne suis pas heureux que tu sois partie ! Au contraire, je me sens seul depuis ton départ... Je préférais quand tu étais avec moi, j'avais enfin quelqu'un avec qui parler et rire. Tu penses vraiment que j'aurais pu être assez salaud pour te faire virer ?  » Tu en es presque vexé au final. Te rapprochant d'elle, tu plantes ton regard droit dans le sien, la regardant droit dans les yeux. Tu voulais qu'elle puisse lire en toi, qu'elle comprenne qu'elle faisait fausse route et qu'elle se calme. « Regarde moi dans les yeux et ose me dire que j'ai pas tout fait pour que tu te sentes à l'aise au bar. Je m'en moque moi que tu aies deux mains gauches, je suis dans le même cas que toi ! Après les heures qu'on a passé derrière ce comptoir tu penses que j'aurais pu te faire une chose pareille ? Et qu'est-ce que j'aurais gagné ? » C'est vrai ça, tu n'avais aucune raison de lui faire quoi que ce soit, et normalement elle devrait le savoir. Vous avez eu le temps d'apprendre à vous connaitre après tout.
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